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les Églises que des institutions de classe. Cette
position
simpliste de problèmes vieux comme le monde chrétien a du moins le mé
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s œuvres mineures, toute création réelle étant la
position
d’un acte indépendant des mécanismes de la société. Il nous faut fair
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ic et Nunc . Ces deux références peuvent fixer sa
position
spirituelle. Toutefois, l’exposé qu’on va lire n’est pas un résumé de
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pas contenir une revendication de droit, mais une
position
de fait. La voici : le bien de tous n’est ni concevable ni réalisable
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re est un acte, j’entends par acte, justement, la
position
d’une qualité incomparable, jaillie de l’opposition de deux termes au
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lement drame entre la vision et l’objet, entre la
position
de l’homme et la proposition du monde. C’est la région de la rencontr
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faudrait pourtant refaire les bases…) Quant à la
position
d’Henri Petit vis-à-vis de la foi, je m’excuse de la résumer en trois
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— j’admire qu’un incroyant ait su donner à notre
position
personnaliste sa plus solide justification humaine. Henri Petit veut
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dire que toutes les attaques marxistes contre les
positions
d’Esprit et de l’ON depuis quatre ans, n’avaient pas même l’excuse de
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e de la vérité. Le mot d’incarnation résume cette
position
. On nageait en pleine confusion. Les anciens se vantaient et accablai
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la réalité fédéraliste. Or il se trouve que notre
position
personnaliste est fondamentalement liée à une forme fédérative de l’É
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eois et du collectivisme dictatorial. Elle est la
position
centrale, à la fois naturelle et spirituelle, dont l’individualisme e
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le conclue une enquête sur le capitalisme sur les
positions
grotesques (économiquement parlant) de M. Coquelle-Viance ? Le Féd
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chapitre qui paraît aujourd’hui précise assez ma
position
: on a pu voir les motifs que j’avais de ne point en appeler à Lawren
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subversifs et les conservateurs par profession ou
position
. Ne demandons pas l’instauration d’une fédération européenne pour que