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Préface
à une littérature (octobre 1934)g D’un présent confus et mauvais,
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qu’au souvenir récent de nos décrépitudes. Si la
préface
à l’avenir n’était qu’anathème au présent, où serait notre création ?
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. Notre littérature travaille contre l’esprit.
Préface
à l’imprévisible Une littérature n’est valable — et son influence
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sable envers lui-même. g. Rougemont Denis de, «
Préface
à une littérature », Esprit, Paris, octobre 1934, p. 24-33.
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e), mais aussi par manière de conclusion à cette
Préface
à une littérature, qu’on a pu lire ici le mois dernier. Ah ! nous so
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voire d’un éloge adroitement pimenté de réserves.
Préface
: « Les réalisations de l’URSS sont le plus souvent admirables. » Épi
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lexe que cela. Mais c’est aussi plus clair que la
préface
et l’épilogue ne le donneraient à penser. Parlons net : il s’agit ici
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personnelles qu’il formule admirablement dans sa
préface
. Morceau brillant, disert, d’une élégance trop aisée, mais non point
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e de connaissance, etc. » Ailleurs il parle d’une
préface
dans laquelle Swedenborg aurait expliqué « comment il a glissé de la