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’elles parlent maintenant sa langue, adoptent ses
préjugés
, singent ses pires faiblesses et bénissent ses canons. Bien moins enc
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ns écrivains. IV. Le spiritualisme consacre le
préjugé
utilitaire De tout ceci, retirons deux faits simples : un personna
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rnaux, il y a toute la distance d’une erreur à un
préjugé
. Mais enfin pour saisir je ne dis pas la racine de ce préjugé populai
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s enfin pour saisir je ne dis pas la racine de ce
préjugé
populaire, mais la raison de fait qui l’autorisa parmi nous, il faut
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de relever l’autorité que cette erreur confère au
préjugé
. En effet, le succès de l’erreur eût été forcément limité, si par mal
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aussi naturelle le « sens commun ». Sans doute ce
préjugé
contre l’esprit n’a pas toujours été si fort que nous le voyons aujou
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rtésien, c’est d’avoir formulé l’équivalent de ce
préjugé
en termes de philosophie. C’est d’avoir enseigné au peuple un culte d
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a foi du seul nom qu’on lui donne, et en vertu du
préjugé
praticiste : technicien signifiant pour le peuple : homme de métier,
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ate. L’idéalisme excessif n’a pu que renforcer le
préjugé
matérialiste. On en est venu à concevoir l’action de l’esprit d’une m
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ir de près une heure durant. Il a pu corriger ses
préjugés
. Et la première rencontre, sous l’auvent du local que l’on quitte, es
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. Et ne pas croire, surtout, qu’il s’agit là de «
préjugés
», comme disent les jeunes personnes en mal d’émancipation. C’est bie
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ants, bref de tout ce qu’on croyait contraire aux
préjugés
réactionnaires, qu’on se figurait, bien à tort, entretenus par le cap
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éral, par opposition au sens devenu courant, de «
préjugé
», de « parti imité ». 97. Voir le remarquable essai de R. de Pury :
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esprits les plus libérés et les plus attachés aux
préjugés
locaux ; les subversifs et les conservateurs par profession ou positi