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ne pourrait pas « vivre sa vie ». Il se sentirait
prisonnier
. Il en viendrait peut-être à des actes irréparables. Mais il y a les
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istes, mythe créé par l’angoisse et l’orgueil des
prisonniers
d’une raison brutale : il aura sans doute la vie dure, comme tout ce
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es professionnels, coupés de la nation vivante et
prisonniers
d’une tradition qui survit sans grandeur à ses racines. Notre seule c
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lades dans les hôpitaux « qui ont des chemises de
prisonniers
» et « n’ont plus guère que le nom de leur mal » et même « du polémis