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de conséquences politiques que si nous posons le
problème
sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas le lieu des d
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sorte de désintéressement radical à l’endroit des
problèmes
politiques et sociaux. La parution coup sur coup, de trois livres imp
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ticulier dans son Éthique politique pose tous les
problèmes
de l’heure avec une lucidité et un courage intellectuel qu’on rencont
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ins non conformiste par la façon dont il pose les
problèmes
. Beaucoup plus « existentielle » que systématique, sa doctrine pourra
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stitutions de classe. Cette position simpliste de
problèmes
vieux comme le monde chrétien a du moins le mérite de débarrasser le
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te sans doute d’un malentendu foncier touchant le
problème
de la violence et que seul parmi ses collaborateurs, André Philip tra
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use des échos qu’elle ébranle, mieux informée des
problèmes
qu’elle incarne, parce qu’elle tiendra la mesure de l’humain et qu’el
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orsque nous parlons du concret, nous supposons le
problème
résolu. Seule, une valeur déterminée de l’inconnue donne une réalité
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oseur de questions, un « prochain » et non pas un
problème
à résoudre à distance ; en un mot, si l’homme est un acte. 4. L’ac
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à même le déshumanise. Elle pose l’homme comme un
problème
, et pour autant elle est bien obligée de prendre du recul par rapport
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s nous connaissons complexes et impurs, pleins de
problèmes
, peuplés de fantômes et séparés par eux de nous-mêmes et du monde. No
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tes d’Arnim). Mais pourquoi nous glisser ce vieux
problème
avec des airs de conspirateur traqué ? Alors que cette confusion dési
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sous l’aspect de la nation ? Tel est je crois le
problème
central qu’impose ce livre, et l’on admettra bien, quelque opinion qu
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oint de vue raciste de l’auteur, qu’il est peu de
problèmes
plus graves pour notre avenir immédiat. Je n’ai rien dit de l’art d’E
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e député avait-il conscience de soulever l’un des
problèmes
les plus impressionnants du siècle ? Avait-il conscience de l’aveu qu
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vre alors la profondeur, il devient à son tour un
problème
, il se trouve mis en question. Il faut voir, en effet, que la situati
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célébrer ? Et plutôt que de ricaner, vous que ces
problèmes
occupent, que ne louez-vous le désintéressement d’un député et d’un l
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s hommes. On allègue un « progrès » continu des «
problèmes
» où le tragique se résorbe en erreurs. Cette obsession de la science
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gie : science de l’âme — d’un tout autre ordre de
problèmes
: à savoir la physiologie des sensations et la classification des mal
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’intérêts devenus criminels ; — constate : que le
problème
de la culture est le problème central de notre temps, la culture étan
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— constate : que le problème de la culture est le
problème
central de notre temps, la culture étant responsable de concentrer, d
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é et qui se vendent ou se désintéressent ; que ce
problème
n’est plus jamais posé que par des penseurs sans audience et sans pre
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t longtemps. Ils retrouveront avant longtemps les
problèmes
spirituels qui sont les nôtres. Toute la question est de savoir si no
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semblance formelle entre les moyens d’approche du
problème
culturel mis en œuvre par les deux régimes, alors que leurs fins sont
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la race. Vous vous êtes refait un corps. Mais les
problèmes
spirituels n’ont pas été résolus pour autant. Vous avez reculé la que
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mporte qu’à partir des réponses que l’on donne au
problème
éternel : où sommes-nous, d’où venons-nous, où allons-nous ? Alors se
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écrivions ici le mois dernier.) C’est ici tout le
problème
que pose ce livre, et qu’il laisse encore en suspens. Les staliniens
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’essai de Gedat intitulé Un chrétien découvre les
problèmes
du monde approche du trois-centième-mille un an après sa publication.
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dans le besoin de bonté de la charité. — Tout le
problème
est là : mettre la machine au service de l’homme. — Il s’agit de tran
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nçais… fait confiance pour l’aider à résoudre les
problèmes
de la paix, de la liberté et du pain des hommes. » Autant dire qu’il
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ne touche pas un traître-mot (sans calembour) des
problèmes
que pose le marxisme : étatisme, dictature, déterminisme économique e
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n’aimons plus cette autarchie des Lettres, où les
problèmes
réels, sociaux, métaphysiques, viennent tout juste fournir un « rappr
33
e lecteur sérieux, personnellement intéressé à un
problème
— juge à peu près régulièrement à l’inverse du critique parisien. Il
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n le connaisse aux spéculations mystiques, et aux
problèmes
théologiques qui s’y rattachent étroitement, c’est cette étrangeté mê
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vant Einstein… Tout ceci tendait à prouver que le
problème
mystique n’est nullement justiciable de « la science » d’aucune époqu
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tion. 3. Ceci dit, il me paraît utile de poser ce
problème
, très brièvement, en termes de philosophie et d’éthique personnaliste
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Je n’ai pas la prétention de traiter un si grave
problème
en quelques lignes. Mais il me semble nécessaire de préciser au moins
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aujourd’hui de marquer le point d’insertion d’un
problème
qu’il faudra, évidemment, que nous traitions un jour en toute franchi
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u sein d’un numéro spécial d’Esprit intitulé « Le
problème
suisse : personne et fédéralisme », coordonné par Denis de Rougemont
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coexistence dans nos vies surgissent sans fin des
problèmes
insolubles, et ce conflit menace en permanence toutes nos « sécurités
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livres aggravant au contraire notre conscience du
problème
, contribuent à le rendre insoluble. Ils sont les signes de la crise,
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lan dans les pays démocratiques, et par suite les
problèmes
individuels déterminent de plus en plus le choix réciproque des conjo
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ez difficile de définir en général le bonheur, le
problème
devient insoluble dès que s’y ajoute la volonté moderne d’être le maî
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nsi l’on passe avec une feinte légèreté à côté du
problème
fondamental. « Il faut se faire lire et gagner la confiance ; on ne r
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stes et eugéniques, et dans une atmosphère où les
problèmes
individuels tendaient à perdre toute espèce de dignité, de légitimité
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les églises non romaines) ont également abordé le
problème
. 92. Il serait curieux de retrouver quel est l’auteur — évidemment m
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videmment moderne — qui a parlé le premier d’un «
problème
sexuel » — idée comique pour un Ancien. av. Rougemont Denis de, « L
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du Peuple ! Mais pour moi, ici et maintenant, le
problème
ne comporte pas d’échappatoire dans le temps à venir. S’il n’est peut
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ntion de résoudre d’un coup, en une seule vie, le
problème
de l’adaptation de deux êtres physiques et moraux des plus hautement
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ureux »). Il faut le reconnaître honnêtement : le
problème
qui nous est posé par la nécessité pratique du mariage apparaît d’aut
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chances de bonheur, on détourne leur attention du
problème
proprement éthique. En tentant de réduire ou de dissimuler le caractè
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mariage en faisant de la promesse de fidélité un
problème
, alors que le problème ne devrait se poser qu’à partir de cette prome
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la promesse de fidélité un problème, alors que le
problème
ne devrait se poser qu’à partir de cette promesse, considérée comme a
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. (De même on fausse la théologie en partant du «
problème
de Dieu » — exactement comme si l’on ne croyait pas — alors que le se
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e si l’on ne croyait pas — alors que le seul vrai
problème
est de savoir comment Lui obéir.) Car la fidélité est sans raisons —
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usion ouverte. J’ai tenté de débrouiller certains
problèmes
posés en termes d’histoire et de psychologie : mais les constatations
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ire croire. De fait, on ne connaît jamais que les
problèmes
dont on pressent au moins la solution, le dépassement. Or le moyen de
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os et Agapè », dans le recueil collectif intitulé
Problèmes
de la sexualité (collection « Présences »). « Un chrétien peut et doi
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ica e Politica. 102. Leo Ferrero, Désespoirs. Le
problème
de la passion est admirablement défini par ce petit livre, dans ses d
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classer Lawrence parmi ceux qui ont méconnu » le
problème
que j’aborde. Mais le chapitre qui paraît aujourd’hui précise assez m
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méprisé votre manière si cavalière d’expédier les
problèmes
, mais à présent je ne sais plus. Puisque aucune patience historique n
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n Dawoud que vous m’opposez, par exemple, pose un
problème
délicat. Par contre, le paragraphe sur Dante et Ibn Arabi, que vous j
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Américain me disait : — En France, n’importe quel
problème
d’ajustement économique devient aussitôt politique, c’est-à-dire qu’i
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artis s’arrangent en général pour rendre tous les
problèmes
aussi insolubles que leurs principes respectifs sont incompatibles. C
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de religions sclérosés dans le nationalisme et le
problème
des minorités. Et surtout, il peut dépasser l’opposition chaque jour