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C’est cet Amour mystique, bientôt sécularisé et «
profané
» par la littérature, qui donne naissance, dès le xiie siècle, à une
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t l’influence actuelle du mythe manichéen (mais «
profané
» par la littérature) que l’on décrit dans le présent chapitre. On s’
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ssentiellement lyrique » nous parvient totalement
profanée
, et par suite dénaturée. Voici les forces en présence : d’une part, u
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rôle civilisateur. Mais le mythe s’est déprimé et
profané
en même temps que les formes sociales dont il tirait ses éléments pla
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je ne convaincrai pas une seule victime du mythe
profané
. Mais il fallait faire voir, par quelques traits, comment cette passi