1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
1 n second. Et pourtant mon espoir est gagé sur une promesse aussi certaine que ma mort et que la mort du temps lui-même au Jugeme
2 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
2 rpent au sang-froid — le cynique pur — insinue sa promesse éternellement trahie : eritis sicut dei. Infinie naïveté du moraliste
3 On fausse l’éthique du mariage en faisant de la promesse de fidélité un problème, alors que le problème ne devrait se poser qu
4 problème ne devrait se poser qu’à partir de cette promesse , considérée comme absolue. La problématique du mariage n’est pas du c
5 e de créateur. Ainsi, dans la plus humble vie, la promesse de fidélité introduit une chance de faire œuvre, et d’accéder au plan
6 la personne. (À condition bien entendu que cette promesse ne soit pas faite pour des « raisons » que l’on se réserve de répudie
7 elles cesseront de paraître raisonnables ! Si la promesse du mariage est le type même de l’acte sérieux, c’est dans la mesure o
8 — dire non en vertu de l’absurde, en vertu d’une promesse ancienne, d’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une promesse
9 ’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une promesse faite à Dieu, gagée par Dieu… (Et peut-être, plus tard, après coup, l
10 upable et asservi. Tristan n’est pas fidèle à une promesse , ni à cet être symbolique, ce beau prétexte qui s’appelle Iseut, mais