1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
1 l’homme essaie de se donner pour justifier à ses propres yeux, voire pour glorifier ce qu’il répugne à considérer comme sa pei
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
2 xpriment bien mieux qu’il ne saurait le faire ses propres révoltes et ses rêves. Ils lui en font une espèce de gloire. Le voilà
3 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
3 ginent sont celles de la mort, et d’abord de leur propre mort. Car l’essence de l’homme, en tant qu’homme, est à jamais incalc
4 nom et une autorité, une attitude d’auteur de son propre destin ? C’est ce que l’on ne voit point. C’est ce que nul ne peut vo
5 endant que chacun peut savoir en quoi consiste sa propre personne. Ma personne, c’est ma présence au monde et à moi-même conjo
4 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
6 de ce qu’il se doit ! Et qu’il est attentif à sa propre démarche ! « Il me paraît absolument nécessaire de le dire… Pour ma p
5 1935, Esprit, articles (1932–1962). Albert Soulillou, Nitro (février 1935)
7 s livres ; d’attendre qu’un sujet impose sa forme propre , ses proportions et ses « valeurs », dirait un peintre. Il est remarq
6 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
8 ssé. Mais nous entendons lui donner son caractère propre . Nous voulons que, dans le déséquilibre qui déconcerte le monde, elle
9 notre culture. Peut-on imaginer un spectacle plus propre à éveiller l’imagination, à attirer la curiosité, à susciter l’élan d
10 su répandre une doctrine de l’esprit tout à fait propre à aveugler les masses, qui ne savent plus reconnaître ni la nature ni
11 rt, et le fait qu’on l’ait négligé, me paraissent propres à fixer l’attention de quelques-uns sur une erreur très générale. Err
12 se trouve être tout justement la doctrine la plus propre à nous aveugler sur la réalité absurde et magnifique, enseignante et
13 c’est qu’en réalité, ils ont trahi leur fonction propre , qui était de juger, et de juger effectivement, dans le monde des cor
7 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
14 néral — ont perdu l’une et l’autre leur dynamisme propre . Si l’État ne freinait plus, si la personne ne cherchait plus à triom
8 1937, Esprit, articles (1932–1962). Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)
15 ction possible ou nécessaire, mais par les moyens propres de l’art ; une considération constante des tenants et aboutissants de
9 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
16 ance, et telle qu’il la développait pour ses fins propres , individuelles, individualistes. « Le moi est anéanti, écrit M. Lamm,
17 mystique”. L’âme ne vit plus désormais de sa vie propre , c’est Dieu qui vit et agit en elle. » Il s’agit, au vrai, de la lutt
18 u du public « cultivé » français… Et préciser mes propres réserves à l’endroit de la mystique. as. Rougemont Denis de, « [Com
10 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
19 ’une part nous y perdons ce qui fait notre valeur propre dans la culture de langue française ; et d’autre part, en nous refusa
20 ifications si convaincantes dans le plan de notre propre doctrine ? Armée démocratique, dit-on, milice populaire, dépourvue de
11 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
21 que, passant « leur seuil », sortant de leur être propre et du présent tel qu’il leur est donné, incapables d’accepter l’autre
12 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
22 demande ce soit l’honneur d’être exploité par ses propres compatriotes. » Robert Francis, après Bernanos, met en garde ses cama
13 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
23 l’homme — à un homme déterminé — de connaître ses propres désirs et de sonder en vérité ses préférences les plus secrètes, du m
24 e ait son mari… La femme n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est le mari ; et pareillement, le mari n’a pas autorité
25 et pareillement, le mari n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est la femme. Ne vous privez pas l’un de l’autre, si ce
26 , que le moi rejoint sa personne — au-delà de son propre bonheur. Ainsi la personne des époux est une mutuelle création, elle
27 lus précise : La femme n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est le mari ; et pareillement le mari n’a pas autorité
28 et pareillement le mari n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est la femme. (I. Cor. 7.) La femme étant l’égale de l
14 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
29 te de ce dernier dans Esprit d’avril, nous a paru propre à intéresser nos lecteurs. Voici d’abord une lettre de Rougemont. »
15 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
30 lms ont les cheveux noirs. De plus l’Allemand est propre et travailleur, et mon arrière-grand-mère était du Wurtemberg. Les It
31 e timidité de l’esprit qui recule devant son acte propre  : donner un sens, voir au-delà, relier les moyens aux fins. La volon