1
l’homme essaie de se donner pour justifier à ses
propres
yeux, voire pour glorifier ce qu’il répugne à considérer comme sa pei
2
xpriment bien mieux qu’il ne saurait le faire ses
propres
révoltes et ses rêves. Ils lui en font une espèce de gloire. Le voilà
3
ginent sont celles de la mort, et d’abord de leur
propre
mort. Car l’essence de l’homme, en tant qu’homme, est à jamais incalc
4
nom et une autorité, une attitude d’auteur de son
propre
destin ? C’est ce que l’on ne voit point. C’est ce que nul ne peut vo
5
endant que chacun peut savoir en quoi consiste sa
propre
personne. Ma personne, c’est ma présence au monde et à moi-même conjo
6
de ce qu’il se doit ! Et qu’il est attentif à sa
propre
démarche ! « Il me paraît absolument nécessaire de le dire… Pour ma p
7
s livres ; d’attendre qu’un sujet impose sa forme
propre
, ses proportions et ses « valeurs », dirait un peintre. Il est remarq
8
ssé. Mais nous entendons lui donner son caractère
propre
. Nous voulons que, dans le déséquilibre qui déconcerte le monde, elle
9
notre culture. Peut-on imaginer un spectacle plus
propre
à éveiller l’imagination, à attirer la curiosité, à susciter l’élan d
10
su répandre une doctrine de l’esprit tout à fait
propre
à aveugler les masses, qui ne savent plus reconnaître ni la nature ni
11
rt, et le fait qu’on l’ait négligé, me paraissent
propres
à fixer l’attention de quelques-uns sur une erreur très générale. Err
12
se trouve être tout justement la doctrine la plus
propre
à nous aveugler sur la réalité absurde et magnifique, enseignante et
13
c’est qu’en réalité, ils ont trahi leur fonction
propre
, qui était de juger, et de juger effectivement, dans le monde des cor
14
néral — ont perdu l’une et l’autre leur dynamisme
propre
. Si l’État ne freinait plus, si la personne ne cherchait plus à triom
15
ction possible ou nécessaire, mais par les moyens
propres
de l’art ; une considération constante des tenants et aboutissants de
16
ance, et telle qu’il la développait pour ses fins
propres
, individuelles, individualistes. « Le moi est anéanti, écrit M. Lamm,
17
mystique”. L’âme ne vit plus désormais de sa vie
propre
, c’est Dieu qui vit et agit en elle. » Il s’agit, au vrai, de la lutt
18
u du public « cultivé » français… Et préciser mes
propres
réserves à l’endroit de la mystique. as. Rougemont Denis de, « [Com
19
’une part nous y perdons ce qui fait notre valeur
propre
dans la culture de langue française ; et d’autre part, en nous refusa
20
ifications si convaincantes dans le plan de notre
propre
doctrine ? Armée démocratique, dit-on, milice populaire, dépourvue de
21
que, passant « leur seuil », sortant de leur être
propre
et du présent tel qu’il leur est donné, incapables d’accepter l’autre
22
demande ce soit l’honneur d’être exploité par ses
propres
compatriotes. » Robert Francis, après Bernanos, met en garde ses cama
23
l’homme — à un homme déterminé — de connaître ses
propres
désirs et de sonder en vérité ses préférences les plus secrètes, du m
24
e ait son mari… La femme n’a pas autorité sur son
propre
corps, mais c’est le mari ; et pareillement, le mari n’a pas autorité
25
et pareillement, le mari n’a pas autorité sur son
propre
corps, mais c’est la femme. Ne vous privez pas l’un de l’autre, si ce
26
, que le moi rejoint sa personne — au-delà de son
propre
bonheur. Ainsi la personne des époux est une mutuelle création, elle
27
lus précise : La femme n’a pas autorité sur son
propre
corps, mais c’est le mari ; et pareillement le mari n’a pas autorité
28
et pareillement le mari n’a pas autorité sur son
propre
corps, mais c’est la femme. (I. Cor. 7.) La femme étant l’égale de l
29
te de ce dernier dans Esprit d’avril, nous a paru
propre
à intéresser nos lecteurs. Voici d’abord une lettre de Rougemont. »
30
lms ont les cheveux noirs. De plus l’Allemand est
propre
et travailleur, et mon arrière-grand-mère était du Wurtemberg. Les It
31
e timidité de l’esprit qui recule devant son acte
propre
: donner un sens, voir au-delà, relier les moyens aux fins. La volon