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lit, la critique littéraire reprend ses droits et
proteste
une fois de plus contre les poncifs populistes. Ce qui manque peut-êt
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stin allemand (mai 1935)p Nous ne cesserons de
protester
ici contre la négligence et la frivolité désastreuse de la critique l
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tkin, le chef décrit ce désastre des mœurs, et il
proteste
avec toute l’énergie d’un « révolutionnaire professionnel » — donc pu
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ge a fait sauter la seconde (où notre ami Miatlev
protestait
de ne pas lire le nom de Lawrence parmi les premiers de ceux qui se s