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s bien mieux ce qui nous blesse que la nature des
réalités
que nous sentons, en nous, obscurément blessées. Notre conscience à m
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vision, ou au toucher, ou à la connaissance, une
réalité
suffisante et détachée de toute action particulière. (Ainsi rêve l’id
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e. (Ainsi rêve l’idéalisme.) Pour qu’il y ait une
réalité
, pour qu’il y ait quelque chose de concret, il faut une mise en prése
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le, une valeur déterminée de l’inconnue donne une
réalité
aux relations que nous venons de proposer, transforme l’équation suje
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attribuer un sens commun, ou plus exactement une
réalité
d’existence commune à des concepts très diversement définis par les p
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ar excellence le terme premier, dont dépend toute
réalité
collective. À l’utopie sociologique qui prophétise la dissolution du
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tier et l’éducation. C’est à la sauvegarde de ces
réalités
prochaines que doivent s’ordonner les relations plus générales. Cette
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s ? Qu’importe une « assurance-vie », si la seule
réalité
vivante est dans le risque ? Qu’importe la multiplicité des relations
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e s’ouvre par un discours lyrique « sur le peu de
réalité
» et se termine par des considérations décousues sur quelques résulta
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il s’agit ici, tout simplement, de s’évader d’une
réalité
qu’on craint. Le ton bien plus modeste (trop modeste) des discours de
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er au contraire l’inexistence des classes dans la
réalité
campagnarde. Il met en évidence un fait dont il faut souligner dans c
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ommes découvrent peu à peu dans leurs épreuves la
réalité
de leur patrie perdue. Ils découvrent surtout que cette patrie pour l
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choses et les êtres, dans le magma larvaire de la
réalité
non encore informée par la raison de l’homme. Mais j’en viens à l’exp
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ue nous reconnaissons. Voilà qui appelle enfin la
réalité
. 22. Autres exemples : p. 19 (« L’allure que donne… les testicules
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il pas mieux le mettre à part ? Le séparer de ces
réalités
trop terre-à-terre où le commun risquerait fort de ne le point distin
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soigneusement vidés de toute espèce de « basse »
réalité
qui alimentent les discours des parlements et des académies. La bibli
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ie, car les caricatures que l’on nous offre d’une
réalité
— ici l’esprit — sont des arguments de misère contre cette réalité ta
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sprit — sont des arguments de misère contre cette
réalité
tant qu’elle dispense par ailleurs des témoignages éclatants de sa fo
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concrète. On supprime le risque de penser dans la
réalité
lourde et « mal compassée » (Descartes). Et plus rien ne s’oppose alo
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la doctrine la plus propre à nous aveugler sur la
réalité
absurde et magnifique, enseignante et désordonnée des gestes de l’hum
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c’est-à-dire constituée dans la lutte contre une
réalité
qu’il s’agit de modifier et non pas seulement de décrire, on fera bie
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ous donc fondés à juger, à risquer en son nom les
réalités
immédiates ?38 Les clercs ont pris parti : les uns avec la foule, le
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des intellectuels dans la cité (suite) b) Les
réalités
qui se payent. Donc, on nous dresse à ne servir à rien. Entendez : à
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public ne puissent être un puissant rappel à la «
réalité
rugueuse » de ce monde. Mais ce rappel n’est pas suffisant. Voir les
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ation d’Esprit ? Donner un sens à la vision d’une
réalité
, c’est montrer à quelle fin doit tendre cette réalité, — notre cultur
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ité, c’est montrer à quelle fin doit tendre cette
réalité
, — notre culture par exemple. C’est croire à cette fin, et prouver qu
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spère presque de donner la moindre « idée » de la
réalité
nationale-socialiste à un homme, même de bonne volonté, qui n’aurait
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quée à l’auteur de cette phrase : « Authenticité,
réalité
, vérité, matière : autant de synonymes ou presque.42 » ⁂ « Qu’on n’ai
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ça se verrait. » Telle est la loi nouvelle et la
réalité
d’une ère dominée par ce fait historique : l’Incarnation de la Parole
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t, c’est que l’effort même, pour lui, garantit la
réalité
. L’effort est le concret de l’homme49. Saisir les choses et les êtres
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rde supplanta, elle aussi, sous la pression de la
réalité
, l’idée de masse. La culture soi-disant prolétarienne se révéla final
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as nos contingences. Voilà la tension créatrice :
réalité
et vérité assumées dans une seule volonté. Il reste à remplacer chacu
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qui surgit de l’inconscient des peuples vers une
réalité
commune, communautaire. La puissance de cet appel ne saurait être com
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ure, doit être stylisée. Elle doit représenter la
réalité
complexe et pénible sous une forme simplifiée et illusoire. Tout ce q
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satisfaction au besoin humain de substituer à la
réalité
le rêve d’une vie plus « heureuse ». C’est encore une aspiration à la
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. 1er mars Si l’on craint d’ordinaire d’avouer sa
réalité
individuelle et ses superstitions, c’est sans doute en vertu d’une pr
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toute « politique ». Et si j’avoue et légitime la
réalité
de mes superstitions, il faut tout de suite que j’oppose à cet aveu u
38
ui au point de vue psychologique sont notre vraie
réalité
, ce serait jeter la société dans l’anarchie la plus sanglante. La pol
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nglante. La politique ne doit jamais partir de la
réalité
irrationnelle de l’homme : d’ailleurs elle ne le pourrait pas. Ma loi
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raire, la politique doit aller à l’encontre de la
réalité
individuelle, et c’est pour elle la seule manière d’être en vérité «
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e en fait le plus souvent, quand elle exprime une
réalité
sentimentale, mystique ou sensuelle, qui ne saurait se traduire en te
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nstrueux qu’elles prennent sur les esprits, et la
réalité
de cauchemar qu’elles affectent, — dont les affecte notre démission.
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nt sacrées et l’homme, s’étant enfin accordé à la
réalité
qui est sienne, n’aura plus qu’à fermer les yeux pour que s’ouvrent l
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ue les bourgeois et les staliniens se font de ces
réalités
, nous combattrons ensemble. Mais avec cela nous n’aurons pas liquidé
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de ne point porter de jugement de valeur sur la «
réalité
» des visions de Swedenborg, son expression le trahit à chaque page,
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e que cela comporte d’autonomie, de nécessité, de
réalité
irremplaçable, de conscience d’une mission à accomplir, et que nul au
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et de défense des intérêts économiques, c’est la
réalité
européenne de la Suisse qu’on perd de vue. On l’a senti à l’occasion
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dique et appelle dans ces pages une seule et même
réalité
, qui est la réalité fédéraliste. Or il se trouve que notre position p
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s ces pages une seule et même réalité, qui est la
réalité
fédéraliste. Or il se trouve que notre position personnaliste est fon
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ciatrice d’une Europe fédérée dont elle prouve la
réalité
en assemblant dans un État nos trois plus grandes civilisations, la g
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ain de perdre ce qu’ils ont trouvé, le sens de la
réalité
irremplaçable d’une nation. L’autorité qu’une certaine presse suisse
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r ? Il y faudrait une conscience très forte de la
réalité
fédéraliste et de ce qu’elle implique à la fois de diversités reconnu
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ribuez des justifications parfois mythiques à des
réalités
qui se sont constituées par le jeu d’intérêts et de routines médiocre
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s jeunes chefs bolchéviques, se traduisit dans la
réalité
par une généralisation de l’union libre, de l’avortement, de l’abando
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-ils des anges une fois appariés ? Ignore-t-on la
réalité
, ou n’a-t-on rien à dire de plus sérieux ? Poussez la première porte
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’homme n’est pas encore en mesure de concevoir la
réalité
de la personne chez la femme. C’est autant dire qu’il ne sait pas enc
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s d’exercer le pouvoir sur place, à l’échelle des
réalités
que l’on maîtrise. 26. Si peu que ce soit, c’est tout ce qu’il y a de
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. Mais voilà, je le « vide de sa riche, émouvante
réalité
humaine », Et vous citez la légende de Rudel, et vous me reprochez de
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, vous insistez sur la nécessité d’englober toute
réalité
dans une synthèse transcendante, de tout sauver. Protestant, j’insist