1 de ce genre, minutieuse confrontation de l’idéal rêvé et du sordide quotidien. Mais Joyce est justement le plus parfait exe

2 du corps humain ; c’est une étrange erreur que de rêver l’âme immortelle19 ; et c’est au nom de cette erreur qu’on croit pouv

3 parfois l’impression d’un livre plus profondément rêvé qu’écrit (fort bien écrit du reste). Il laisse deviner trop de choses

4 Elles vont exactement à l’encontre du but qu’ils rêvent . Par ailleurs, si j’accepte le diagnostic de Tzara, si j’admets que l

5 s sont nécessaires, mais il y a un temps pour les rêver et un temps pour les appliquer, un temps pour critiquer finement ce q

6 quoi fermer les yeux ? (Non pour prier, mais pour rêver …) Pourquoi retomber dans le poncif onirique 1925 ? Ce n’était pas la

7 tourment exemplaire. Mais tous ou presque tous en rêvent , ou en rêvassent. Et si brouillée et défraîchie que soit l’empreinte

8 nde tel qu’il est, et non point tel qu’il peut le rêver . Son activité « créatrice » consiste alors à retrouver en profondeur

9 nde de Rudel, et vous me reprochez de n’avoir pas rêvé là-dessus et de n’en avoir tiré qu’un argument de tortionnaire. Vous

10 rrais, je devrais vous dire que si je n’avais pas rêvé (et un peu plus…) sur l’aventure de Rudel, si j’étais insensible à ce

11 s la créature telle qu’elle est, mais vers le moi rêvé de celui qui s’exalte. C’est une espèce de narcissisme. Le seul amour

12 La volonté de prendre conscience. J’ai dit qu’ils rêvent . J’ajouterai qu’ils détestent celui qui vient les réveiller. Ils le t