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s autre chose. Mais d’autre part, et pour la même
raison
, il ne peut s’en targuer pour fonder un « ordre chrétien » ; et s’il
2
e, et risque, à la limite, de les priver de toute
raison
d’être efficace, — ainsi et parallèlement, de la corruption spirituel
3
synonyme d’obéissance inconditionnée à mon unique
raison
d’être14. Nous sommes ici très loin de la notion bourgeoise de libert
4
s buts qui leur sont réellement assignés par leur
raison
d’être profonde. C’est un amer divertissement que nous offre la vie q
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valeur humaine qu’ont les mémoires et « livres de
raison
» rédigés sans littérature. Voilà qui est banal ? Je n’en suis pas fâ
6
l’étatisme renforcé. 14. Pour le chrétien, cette
raison
d’être singulière est la parole que Dieu lui adresse comme un ordre ;
7
les provoque autant qu’il leur répond, et la même
raison
qui fait qu’il est lui-même, fait aussi qu’il n’est plus un isolé, ma
8
et notre vie n’est pas une farce, pour la simple
raison
qu’elle est unique, et qu’on ne peut changer de rôle : on peut seulem
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que ce qu’il fait est dans son rôle ? Pour quelle
raison
sort-il du chœur des anonymes résignés, pour revêtir un vrai visage,
10
toire, font figure de coups de force contre toute
raison
et causalité claire. Ils sont là en dépit de la forme du monde, et pa
11
le vicieux ! Oui, rien n’est plus vicieux pour la
raison
que ce beau cercle indivisible, irréfutable, du concret. Mais le juge
12
le, du concret. Mais le jugement sceptique que la
raison
impersonnelle est incapable de ne pas porter sur le concret, juge en
13
ne pas porter sur le concret, juge en réalité la
raison
même, déclare sa permanente crise et ses limites humiliantes. L’étern
14
’espoir incertain de nous munir contre eux, notre
raison
cherche à trouver leurs lois. Elle les trouve, mais ce sont alors les
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s ce qui les attaque, une fatale loi justifiée en
raison
. D’où vient alors l’idée de la personne, et ce regret d’une dignité q
16
de la personne, et ce regret d’une dignité que la
raison
des peuples et des clercs s’accorde à révoquer en doute ? L’imaginati
17
s au terme d’une société parfaite, pour la simple
raison
qu’il n’y a de rapport humain réel que par l’apparition première de l
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stante par elle-même, et dont il ne saurait avoir
raison
en quelques tours de phrases élégants et péremptoires, et l’on se dem
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que maint lecteur y découvrira peu à peu quelque
raison
très personnelle de l’aimer. 21. Je ne dis pas que tout cela aille
20
Il me semble que ce conformisme, dont on sait les
raisons
commerciales, couvre pas mal d’infidélités profondes. Certains sujets
21
is peu de livres moins conventionnels. Pour cette
raison
d’abord que Breuil n’aborde pas une « classe » définie par les sociol
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larvaire de la réalité non encore informée par la
raison
de l’homme. Mais j’en viens à l’explication psychanalytique que Tzara
23
imposent la morale, l’Église, les exploiteurs, la
raison
. Le rêve se trouve refoulé par le langage rationnel. Il s’agit donc d
24
». Mais je me méfie de cet « individu », pour des
raisons
sur lesquelles il est inutile de revenir une fois de plus dans Esprit
25
ée et de mesure » que le Palais-Bourbon, pour les
raisons
qu’on sait, honore d’une façon moins directe. III. Le temple est v
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française, de la recherche scientifique et de la
raison
universelle, donnera à notre Exposition son sens et sa portée. Je ré
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is pas la racine de ce préjugé populaire, mais la
raison
de fait qui l’autorisa parmi nous, il faut bien remonter à l’erreur i
28
ns plus tard31 de saisir dans l’histoire quelques
raisons
secrètes de cette complicité. Pour l’instant, négligeant les causes e
29
critique un peu trop perspicace. Ils ont au fond
raison
, leur instinct a raison, qui veut qu’on n’abatte le mal, cette négati
30
rspicace. Ils ont au fond raison, leur instinct a
raison
, qui veut qu’on n’abatte le mal, cette négation perpétuelle, qu’à cou
31
cret de séparation de l’esprit et du corps, de la
raison
pure et de la morale pratique, décret prononcé par Descartes en 1637
32
out en les honorant par habitude, et pour la même
raison
: en tant qu’hommes inutiles, distingués, libérés et savants. En tant
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le droit : « Cet homme est juste. » Ayant dit ses
raisons
, il a fait tout ce qu’un clerc doit faire, selon nos grands docteurs
34
adversaire des avalanches et des marées, pour des
raisons
idéologiques. On entend des gens à Paris, qui soutiennent que le fait
35
par l’effort d’une imagination qui retrouve leur
raison
d’être, les pousser jusqu’à l’expression de leur nature primitive, pr
36
’un art, la coutume d’un peuple, et l’authentique
raison
d’être, l’identité d’une personne en communion, je vois, j’apprends,
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à l’appui de leur foi nouvelle. Ce n’est pas sans
raison
qu’ils se remettent à glorifier les mythes du Progrès indéfini et du
38
es droits et n’est plus à l’échelle du phénomène…
Raison
de plus, chance de plus, d’essayer d’élargir cette critique, et notre
39
core contre le Plan, mais en vertu de tout autres
raisons
. Ce hiatus inquiétant, cette première faille dans la construction si
40
ans sincères du régime. On comprend fort bien les
raisons
qui les empêchaient jusqu’ici de prendre conscience du danger. La lit
41
par l’angoisse et l’orgueil des prisonniers d’une
raison
brutale : il aura sans doute la vie dure, comme tout ce qui est irrat
42
t ce qui est irrationnel, et c’est la faute de la
raison
. Car cette raison, simple servante de l’action, s’est voulue maîtress
43
ionnel, et c’est la faute de la raison. Car cette
raison
, simple servante de l’action, s’est voulue maîtresse de tout l’homme.
44
homme du travail et pour supprimer finalement les
raisons
matérielles de se plaindre. Et après cela, commencera la conquête d’u
45
e nouveau le réel, où peut-être on retrouvera des
raisons
sérieuses et urgentes, enfin solides de s’aimer ? La commune mesure d
46
du monde, d’une conception du monde fondée sur la
raison
, l’individu et la science cartésienne. Nous savons aujourd’hui que la
47
ience cartésienne. Nous savons aujourd’hui que la
raison
n’est pas un idéal, mais un outil ; que l’individu n’est rien que la
48
s-nous à leurs masses déifiées, distinguons leurs
raisons
profondes, leurs nécessités historiques, critiquons même de ce point
49
mais dont l’acceptation virile constitue sa seule
raison
d’être. Tout le débat de ce journal revient à cette scandaleuse oppos
50
! Ni de condamner pour le mauvais plaisir d’avoir
raison
. Mais il s’agit de refaire une amitié humaine d’où jaillisse la joie
51
définir. Page 20, on croirait bien que c’est « la
raison
». Mais l’ensemble du manifeste donne penser que c’est plutôt la tact
52
gauche parce que la gauche, c’est le parti de la
Raison
et du Progrès, qui naît de la Science. C’est ce mari-là qui aura payé
53
la Troisième République, ce défenseur légal de la
raison
contre les entreprises rétrogrades de l’Église, n’hésite pas à tirer
54
: il a la veine. Mais notre jacobin ne croit à la
Raison
et à la Science mère du Progrès, que dans la mesure où cela lui perme
55
e la proie du charlatanisme éternel. Mesure de la
raison
humaine : ils refusent la Trinité au nom de l’arithmétique élémentair
56
aite de croyances spontanées et absolues en des «
raisons
» qui n’en sont pas, mais qui m’ont toujours convaincu beaucoup plus
57
ensuelle, qui ne saurait se traduire en termes de
raison
. Mais je la tiens pour néfaste quand elle sort du domaine personnel e
58
’hommes et de femmes isolés, qui ont chacun leurs
raisons
très concrètes et singulières de lire ce qu’un autre a écrit, d’écout
59
e ou au café, celui-là peut vous révéler la vraie
raison
d’une communion entre deux hommes : c’est toujours une raison unique,
60
communion entre deux hommes : c’est toujours une
raison
unique, qui ne vaut qu’entre lui et moi, et qui ne prend son vrai sen
61
soulèvements de l’instinct vers la clarté, notre
raison
les repousse au lieu de les transfigurer. En présence de tout ce qui
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oque. Dans l’un et l’autre cas, et pour les mêmes
raisons
, les réponses varient du tout au nul. C’est dire qu’une réflexion pat
63
re en fait d’une inquiétante continuité, pour des
raisons
plus commerciales que spirituelles, on le sait bien.) Mais si nous es
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dépasse, mais où il trouve enfin sa plus profonde
raison
d’être. Or il semble bien que la mystique occidentale, catholique ou
65
demande Ramuz. Cela revient à dire : a-t-elle une
raison
d’être ? J’essaierai de répondre ici du point de vue qui me paraît le
66
à incarner aux yeux de tous les grandes et fortes
raisons
de notre neutralité, celle-ci sera balayée un jour prochain avec les
67
un petit pays comme le nôtre, la conscience de sa
raison
d’être, et le prestige qui s’y attache. On croit souvent, surtout che
68
che lorsqu’elle défend le même Léon Blum pour des
raisons
symétriquement inverses, et par suite non moins étrangères à notre li
69
arner, on pourra dire que la Suisse a retrouvé sa
raison
d’être, et d’être neutre. Quoi de plus comique et de plus irritant qu
70
responsabilités comme neutres. Ramuz insiste avec
raison
sur le fait que nous n’avons pas une culture nationale unifiée, mais
71
nie du Rhin ? Pour nous qui n’avons pas les mêmes
raisons
de construire des Bastions de l’Est, la situation est bien plus favor
72
rappeler que l’armée d’une fédération n’a pas de
raison
d’être en soi, si l’on ne croit pas à cette fédération et à la tâche
73
e me paraît pas toujours proportionné au sens des
raisons
d’être de la Suisse dont témoignent ces mêmes milieux. Ce serait à cr
74
e la défense nationale dans un pays dont la vraie
raison
d’être est en fin de compte spirituelle, devrait comporter normalemen
75
tout au moins affectent de la tolérer : pour des
raisons
trop faciles à concevoir, on craint d’attaquer le lecteur dans ses cr
76
jugé insolite. Mais je pressens d’assez profondes
raisons
de le consentir. J’ai voulu décrire la passion comme une entité histo
77
, quelle qu’elle soit, ne peut ni ne veut « avoir
raison
». Contre elle, on a toujours raison, dès l’instant qu’on parle raiso
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veut « avoir raison ». Contre elle, on a toujours
raison
, dès l’instant qu’on parle raison. Car l’homme de la passion est just
79
, on a toujours raison, dès l’instant qu’on parle
raison
. Car l’homme de la passion est justement celui qui choisit d’être dan
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bouche dans sa perte ! En lui opposant toutes les
raisons
de la terre, et les conseils de tous nos arts de vivre, quand c’est l
81
en chargera, c’est son hygiène. Il y a toutes les
raisons
de le prévoir, dans une époque où l’on confond thérapeutique et sotér
82
2. Critique du mariage Si je ne vois pas de
raison
qui tienne contre la passion véritable, il m’apparaît en second lieu
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on véritable, il m’apparaît en second lieu que la
raison
n’est guère plus efficace pour légitimer le mariage ; et que les argu
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demeurent absolument valables. De tous temps, les
raisons
des philistins ont eu mauvaise conscience devant les ironies du roman
85
ouverait à se justifier. Oui, les romantiques ont
raison
; et les réalistes ont raison ; et les clercs aussi ont raison, quand
86
les romantiques ont raison ; et les réalistes ont
raison
; et les clercs aussi ont raison, quand ils déclarent au nom de leur
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es réalistes ont raison ; et les clercs aussi ont
raison
, quand ils déclarent au nom de leur vocation qu’il faut choisir de fa
88
beri aut libri disait Nietzsche. Et Kierkegaard a
raison
plus qu’eux tous, lui qui d’abord exalte la passion, comme étant la s
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uer le philistin et le romantique, et leur donner
raison
au point de leur faire honte d’avoir parfois douté d’eux-mêmes ; mais
90
parle Nietzsche. Mais si je sais que l’Apôtre a
raison
, et si je l’accepte, je considère alors l’équilibre imparfait du mari
91
e choix d’une femme dépend d’un certain nombre de
raisons
qu’il serait possible de peser. Cette erreur du bon sens est tout à f
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voir comment Lui obéir.) Car la fidélité est sans
raisons
— ou elle n’est pas — comme tout ce qui porte une chance de grandeur.
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plus utile dès que les hommes se régleront sur la
raison
et l’intérêt : quand ils n’auront plus de passions, quand ils cessero
94
u que cette promesse ne soit pas faite pour des «
raisons
» que l’on se réserve de répudier un jour, quand elles cesseront de p
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pourra la réaliser : quand il y aurait toutes les
raisons
du monde de dire oui à cette passion éblouissante, — dire non en vert
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promesse ancienne, d’une déraison humaine, d’une
raison
de foi, d’une promesse faite à Dieu, gagée par Dieu… (Et peut-être, p
97
nne. Une folie de sobriété qui mime assez bien la
raison
— et qui n’est pas un héroïsme, ni un défi, mais une patiente et tend
98
stan et de son négatif donjuanesque. Mais cette «
raison
» est tout à fait inefficace aux yeux de qui préfère le mythe, et veu
99
t c’est pourtant celui-là même qu’avec combien de
raison
vous offrez en modèle à vos disciples. (Mais oui, vous en avez, et je
100
rce, sans dépense de salive patriotique, pour des
raisons
bien évidentes, connues de tous, et qui ne relevaient point de la lut
101
d’affaires regardent vers l’Amérique. À tort ou à
raison
— je n’en juge pas ici — ils s’imaginent que ces pays réalisent mieux