1
fin d’un art au nom de ce qui juge l’art, — et le
recrée
. Nos griefs ne sont pas littéraires ; ils sont, ils veulent être huma
2
e cela qui échappe au temps, marque sa fin, et le
recrée
. De ce mystère, je puis seul témoigner dans l’instant où il me saisit
3
rtes. C’est une harmonie « fédérale ». Restaurer,
recréer
cette force, bâtir cette fédération de personnes et de groupes organi
4
ussi, et il nous fait savoir, que c’est à nous de
recréer
un monde où notre vie s’accepte. Aux premières pages j’ai pensé : doc
5
une durée étale et trop sereine. C’est qu’il faut
recréer
des obstacles pour pouvoir de nouveau désirer et pour exalter ce dési
6
t que les excès mêmes de la passion provoquent et
recréent
des résistances, c’est-à-dire des formes nouvelles, ramenant alors un