1
e. 5° Il n’y a qu’un rapport de trahison entre la
religion
chrétienne et la religion de l’Écho de Paris. « Nous avons proposé un
2
rt de trahison entre la religion chrétienne et la
religion
de l’Écho de Paris. « Nous avons proposé un maître à ce jeune homme,
3
des calculs humains ; il est à l’intérieur de la
religion
. Les églises qui se crurent en droit d’édicter un « ordre chrétien »,
4
re : Témoignages spontanés de travailleurs sur la
religion
(recueillis par Jerome Davis) se fait l’écho de ces revendications an
5
e romantique, la croyance vulgaire au bonheur, la
religion
mise au service de l’ordre, la permanence, les vertus trop massives.
6
discussion. Lorsque l’État vient au secours d’une
religion
, c’est qu’elle est morte. Ou qu’elle n’en a plus pour longtemps. Lors
7
s doit célébrer, et que l’on estime conforme à la
religion
de l’esprit. Mais ce que Descartes a voulu, c’est que l’esprit « clai
8
habituel ; mais les plus grands rapports avec la
religion
au sens égyptien, chaldéen, aztèque… Pour autant que l’on peut compar
9
nds : Miterlebt) une des grandes cérémonies de la
religion
nouvelle. Par exemple un discours du Führer à son peuple. Je roulais
10
t d’amour. Il ne s’agit pas de politique, mais de
religion
, mais de cérémonies monumentales et sacrales en l’honneur d’un Dieu n
11
» ⁂ Chrétiens, retournez aux catacombes ! Votre «
religion
» est vaincue, vos cérémonies modestes, vos petites assemblées, vos c
12
sens dérivé, purement polémique, dirigé contre la
religion
des Grecs, et justifié par la seule connaissance qu’on a du premier s
13
n oublie les fins dernières, le grand dessein, la
religion
qui la supportent et l’utilisent, qui la créent et qui meurent avec e
14
hommes, cette ruine a laissé le champ libre à des
religions
toutes nouvelles, communisme, national-socialisme. Mais là où le cadr
15
national existait depuis un ou deux siècles, ces
religions
ne sauraient combler l’attente réelle. Elles ne sont pas une réponse
16
s de fièvre politique ou idéologique. Mais si ces
religions
nouvelles ne constituent pas un danger interne pour les vieilles nati
17
t à la fois politiques et culturels. L’Europe des
religions
nouvelles nous met au défi de résoudre sur tous les plans le grand di
18
seul moyen de nous reconnaître. Ils ont fondé des
religions
dont le but est la force commune. Ils ont su se créer des symboles gr
19
us pouvons éprouver la puissance de ces nouvelles
religions
, nous pouvons nous mêler à leurs cérémonies, vibrer à l’unisson de le
20
alousie, mais par nature, par le seul fait que sa
religion
n’est pas la nôtre. Étudions les doctrines provisoires ou les tactiqu
21
ocation est différente. Nous ne sommes pas de ces
religions
. Leur lieu saint nous demeure impénétrable. Nos fins sont d’autres fi
22
hains, nos fins dernières. Si nous condamnons ces
religions
, c’est dans leur terme, au nom d’un acte de foi contraire. Elles veul
23
un ou l’autre ; ou mieux, l’un contre l’autre. La
religion
la plus naïve, le fanatisme religieux le plus obtus s’opposent infini
24
ombattre les « idées de propriété, de famille, de
religion
, de patrie ». Les idées de qui ? Si ce sont celles que les bourgeois
25
mble. Mais avec cela nous n’aurons pas liquidé la
religion
et la patrie, nous n’aurons liquidé que leur « ignoble » exploitation
26
de l’action, vénèrent la force, et pratiquent la
religion
de la lutte et de la vie dangereuse : en conclusion, M. Benda fit obs
27
rope, symbolisées par nos trois langues, nos deux
religions
, nos vingt-cinq républiques. Et surtout qu’on ne déplore pas le fait
28
ais des conceptions de l’homme, de l’État, et des
religions
, des partis pris spirituels bien plus puissants que les armées. 75.
29
ciété en général, mais plus ou moins empreinte de
religion
— c’est ce que l’on nomme la morale bourgeoise ; d’autre part, une mo
30
le du roi, mais l’homme pieux qui estimait que la
religion
devait être un amour heureux, un mariage avec sa vertu. Car l’amour d
31
nhumain ». Leur revendication fondamentale : leur
religion
de la vie, s’y oppose diamétralement. Ils considèrent la fidélité com
32
illusion trahit encore l’obscure survivance de la
religion
primitive. Religion antérieure à notre « instinct » moderne, et qui d
33
re l’obscure survivance de la religion primitive.
Religion
antérieure à notre « instinct » moderne, et qui détient l’intime secr
34
cercle s’ouvrir : il est délivré par la foi de sa
religion
naturelle. Il peut maintenant espérer autre chose, il sait qu’il est
35
lus profondément lié au fait de vivre. Toutes les
religions
païennes divinisent le Désir. Toutes cherchent un appui et un salut d
36
le de l’Éros et de l’Agapè, c’est-à-dire des deux
religions
qui se disputent notre Occident. La connaissance de ce conflit, de se
37
les moins christianisées, précisément, là où les
religions
païennes menaient encore une vie secrète. L’amour-passion n’est pas l
38
rs Dieu »102. Il est plutôt le sous-produit de la
religion
manichéenne. Plus exactement, il est né de la complicité de cette rel
39
s exactement, il est né de la complicité de cette
religion
avec nos plus vieilles croyances, et du conflit de l’hérésie qui en r
40
nie, ce sera pour avoir trop longtemps cultivé la
religion
antichrétienne de la passion. ⁂ Faut-il conclure que la passion serai
41
e — les vieux conflits de races, de langues et de
religions
sclérosés dans le nationalisme et le problème des minorités. Et surto