1 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
1 e. 5° Il n’y a qu’un rapport de trahison entre la religion chrétienne et la religion de l’Écho de Paris. « Nous avons proposé un
2 rt de trahison entre la religion chrétienne et la religion de l’Écho de Paris. « Nous avons proposé un maître à ce jeune homme,
2 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
3 des calculs humains ; il est à l’intérieur de la religion . Les églises qui se crurent en droit d’édicter un « ordre chrétien »,
3 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
4 re : Témoignages spontanés de travailleurs sur la religion (recueillis par Jerome Davis) se fait l’écho de ces revendications an
4 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
5 e romantique, la croyance vulgaire au bonheur, la religion mise au service de l’ordre, la permanence, les vertus trop massives.
5 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
6 discussion. Lorsque l’État vient au secours d’une religion , c’est qu’elle est morte. Ou qu’elle n’en a plus pour longtemps. Lors
7 s doit célébrer, et que l’on estime conforme à la religion de l’esprit. Mais ce que Descartes a voulu, c’est que l’esprit « clai
6 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
8 habituel ; mais les plus grands rapports avec la religion au sens égyptien, chaldéen, aztèque… Pour autant que l’on peut compar
9 nds : Miterlebt) une des grandes cérémonies de la religion nouvelle. Par exemple un discours du Führer à son peuple. Je roulais
10 t d’amour. Il ne s’agit pas de politique, mais de religion , mais de cérémonies monumentales et sacrales en l’honneur d’un Dieu n
11 » ⁂ Chrétiens, retournez aux catacombes ! Votre «  religion  » est vaincue, vos cérémonies modestes, vos petites assemblées, vos c
7 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
12 sens dérivé, purement polémique, dirigé contre la religion des Grecs, et justifié par la seule connaissance qu’on a du premier s
8 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
13 n oublie les fins dernières, le grand dessein, la religion qui la supportent et l’utilisent, qui la créent et qui meurent avec e
14 hommes, cette ruine a laissé le champ libre à des religions toutes nouvelles, communisme, national-socialisme. Mais là où le cadr
15 national existait depuis un ou deux siècles, ces religions ne sauraient combler l’attente réelle. Elles ne sont pas une réponse
16 s de fièvre politique ou idéologique. Mais si ces religions nouvelles ne constituent pas un danger interne pour les vieilles nati
17 t à la fois politiques et culturels. L’Europe des religions nouvelles nous met au défi de résoudre sur tous les plans le grand di
18 seul moyen de nous reconnaître. Ils ont fondé des religions dont le but est la force commune. Ils ont su se créer des symboles gr
19 us pouvons éprouver la puissance de ces nouvelles religions , nous pouvons nous mêler à leurs cérémonies, vibrer à l’unisson de le
20 alousie, mais par nature, par le seul fait que sa religion n’est pas la nôtre. Étudions les doctrines provisoires ou les tactiqu
21 ocation est différente. Nous ne sommes pas de ces religions . Leur lieu saint nous demeure impénétrable. Nos fins sont d’autres fi
22 hains, nos fins dernières. Si nous condamnons ces religions , c’est dans leur terme, au nom d’un acte de foi contraire. Elles veul
9 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
23 un ou l’autre ; ou mieux, l’un contre l’autre. La religion la plus naïve, le fanatisme religieux le plus obtus s’opposent infini
10 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
24 ombattre les « idées de propriété, de famille, de religion , de patrie ». Les idées de qui ? Si ce sont celles que les bourgeois
25 mble. Mais avec cela nous n’aurons pas liquidé la religion et la patrie, nous n’aurons liquidé que leur « ignoble » exploitation
11 1937, Esprit, articles (1932–1962). M. Benda nous « cherche », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)
26 de l’action, vénèrent la force, et pratiquent la religion de la lutte et de la vie dangereuse : en conclusion, M. Benda fit obs
12 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
27 rope, symbolisées par nos trois langues, nos deux religions , nos vingt-cinq républiques. Et surtout qu’on ne déplore pas le fait
28 ais des conceptions de l’homme, de l’État, et des religions , des partis pris spirituels bien plus puissants que les armées. 75.
13 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
29 ciété en général, mais plus ou moins empreinte de religion — c’est ce que l’on nomme la morale bourgeoise ; d’autre part, une mo
14 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
30 le du roi, mais l’homme pieux qui estimait que la religion devait être un amour heureux, un mariage avec sa vertu. Car l’amour d
31 nhumain ». Leur revendication fondamentale : leur religion de la vie, s’y oppose diamétralement. Ils considèrent la fidélité com
32 illusion trahit encore l’obscure survivance de la religion primitive. Religion antérieure à notre « instinct » moderne, et qui d
33 re l’obscure survivance de la religion primitive. Religion antérieure à notre « instinct » moderne, et qui détient l’intime secr
34 cercle s’ouvrir : il est délivré par la foi de sa religion naturelle. Il peut maintenant espérer autre chose, il sait qu’il est
35 lus profondément lié au fait de vivre. Toutes les religions païennes divinisent le Désir. Toutes cherchent un appui et un salut d
36 le de l’Éros et de l’Agapè, c’est-à-dire des deux religions qui se disputent notre Occident. La connaissance de ce conflit, de se
37 les moins christianisées, précisément, là où les religions païennes menaient encore une vie secrète. L’amour-passion n’est pas l
38 rs Dieu »102. Il est plutôt le sous-produit de la religion manichéenne. Plus exactement, il est né de la complicité de cette rel
39 s exactement, il est né de la complicité de cette religion avec nos plus vieilles croyances, et du conflit de l’hérésie qui en r
40 nie, ce sera pour avoir trop longtemps cultivé la religion antichrétienne de la passion. ⁂ Faut-il conclure que la passion serai
15 1948, Esprit, articles (1932–1962). Thèses du fédéralisme (novembre 1948)
41 e — les vieux conflits de races, de langues et de religions sclérosés dans le nationalisme et le problème des minorités. Et surto