1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
1 sur la « théologie politique » fait justice de ce reproche et démontre une fois de plus que le paradoxe de la « politique du pes
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
2 mme qui ne fait rien de ses deux mains. Ce que je reproche à l’esprit cartésien, c’est d’avoir formulé l’équivalent de ce préjug
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
3 concrète ; ainsi le maniement d’un outil. D’où le reproche de puérilité que lui adressent ceux qui par exemple n’hésitent pas à
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
4 du régime de l’URSS l’on s’attire d’ordinaire les reproches de tout un groupe d’intellectuels bourgeois qui sympathisent avec la
5 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
5 ssez, la cause est jugée, dira-t-on. Voire ! Gide reproche à la fameuse autocritique soviétique de ne consister « qu’à se demand
6 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
6 is pas. Superstition ! Je m’étonne de ce que ce «  reproche  », que je me formule en vertu d’une habitude scolaire de critique, me
7 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
7 déaliste — et tout ce qu’un Nietzsche absurdement reproche à l’Évangile. C’est Éros, et non pas Agapè, qui a glorifié notre inst
8 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
8 e trouve que plusieurs critiques m’ont adressé le reproche inverse : celui d’avoir donné de l’amour courtois une description si