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sur la « théologie politique » fait justice de ce
reproche
et démontre une fois de plus que le paradoxe de la « politique du pes
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mme qui ne fait rien de ses deux mains. Ce que je
reproche
à l’esprit cartésien, c’est d’avoir formulé l’équivalent de ce préjug
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concrète ; ainsi le maniement d’un outil. D’où le
reproche
de puérilité que lui adressent ceux qui par exemple n’hésitent pas à
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du régime de l’URSS l’on s’attire d’ordinaire les
reproches
de tout un groupe d’intellectuels bourgeois qui sympathisent avec la
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ssez, la cause est jugée, dira-t-on. Voire ! Gide
reproche
à la fameuse autocritique soviétique de ne consister « qu’à se demand
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is pas. Superstition ! Je m’étonne de ce que ce «
reproche
», que je me formule en vertu d’une habitude scolaire de critique, me
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déaliste — et tout ce qu’un Nietzsche absurdement
reproche
à l’Évangile. C’est Éros, et non pas Agapè, qui a glorifié notre inst
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e trouve que plusieurs critiques m’ont adressé le
reproche
inverse : celui d’avoir donné de l’amour courtois une description si