1
es choses qu’il évoque, non point sur les modèles
rhétoriques
que l’école nous a mis dans la tête. Presque toutes les singularités
2
nu d’inventer des canons esthétiques, ni même une
rhétorique
commune, ou un jargon d’équipe, ou je ne sais quel sabir personnalist
3
— l’une des expressions les plus « pures » de la
rhétorique
valéryenne. Swedenborg présente le cas très singulier d’un savant enc
4
aire sera repris par les mystiques orthodoxes. Sa
rhétorique
, d’origine sacrée, transformera peu à peu nos sentiments, en leur prê
5
’Amour, avec telle femme réelle et désirable ; la
rhétorique
de l’Amour cathare servit aux amoureux profanes. La conséquence en fu
6
pé, parce qu’il y trouve son intérêt ; figures de
rhétorique
romanesque, et acceptables à ce titre, mais qu’il serait assez absurd
7
e faut-il pour écrire un sonnet ? Des contraintes
rhétoriques
et de la liberté, disons de l’imagination. De même, pour composer un