1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
1 j’agis », et il trouve dans l’acte sa mesure, son rythme et sa joie. Une totalité. Et s’il divise alors le temps de ses journé
2 t 8 heures de loisir est une dérision brutale des rythmes créateurs. Elle exprime simplement l’état accidentel d’un conflit abs
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
3 temps de la création qui naît de l’acte, c’est le rythme imprimé à l’action générale par cette apparition qui s’y insère. C’es
3 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
4 en partant d’un donné très réduit et de quelques rythmes lyriques, son style est large, ses périodes font la roue. Mais il se
4 1935, Esprit, articles (1932–1962). Albert Soulillou, Nitro (février 1935)
5 ce documentaire authentique, et il en a saboté le rythme . Dès qu’il part dans l’idéologie, la critique d’art ou l’érotisme (ef
5 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
6 (il y en a de beaucoup plus longues). Un certain rythme monotone entraîne une matière vocabulaire disparate, faite de grandil
6 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
7 et de fécondes coïncidences est plus conforme aux rythmes de l’esprit créateur que le détachement méditatif du clerc parfait —
7 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
8 mpagnés par le roulement monotone des tambours au rythme lent, deux coups très espacés, trois coups espacés… Du plafond pendai
8 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
9 s, d’un paysage et d’un ensemble de coutumes. Les rythmes du temps s’y inscrivent aussi bien que l’allure des pentes. « D’où ce
10 harmonie avec ces formes, et son langage avec les rythmes qu’elles traduisent. ⁂ Une forme, une image vivante : est-ce extérieu
11 amuz. On a pu croire qu’il n’avait pas le sens du rythme  : c’est qu’il veut le rythme formé sur la nature des choses qu’il évo
12 avait pas le sens du rythme : c’est qu’il veut le rythme formé sur la nature des choses qu’il évoque, non point sur les modèle
9 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
13 ense « mystification » de l’instinct faussant ses rythmes naturels, invertissant sa direction, exaltant le « désir de mort », d
14 t c’est par là que cette passion se détachait des rythmes du désir charnel ; mais tandis que pour Tristan l’infini, c’est l’éte