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j’agis », et il trouve dans l’acte sa mesure, son
rythme
et sa joie. Une totalité. Et s’il divise alors le temps de ses journé
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t 8 heures de loisir est une dérision brutale des
rythmes
créateurs. Elle exprime simplement l’état accidentel d’un conflit abs
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temps de la création qui naît de l’acte, c’est le
rythme
imprimé à l’action générale par cette apparition qui s’y insère. C’es
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en partant d’un donné très réduit et de quelques
rythmes
lyriques, son style est large, ses périodes font la roue. Mais il se
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ce documentaire authentique, et il en a saboté le
rythme
. Dès qu’il part dans l’idéologie, la critique d’art ou l’érotisme (ef
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(il y en a de beaucoup plus longues). Un certain
rythme
monotone entraîne une matière vocabulaire disparate, faite de grandil
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et de fécondes coïncidences est plus conforme aux
rythmes
de l’esprit créateur que le détachement méditatif du clerc parfait —
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mpagnés par le roulement monotone des tambours au
rythme
lent, deux coups très espacés, trois coups espacés… Du plafond pendai
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s, d’un paysage et d’un ensemble de coutumes. Les
rythmes
du temps s’y inscrivent aussi bien que l’allure des pentes. « D’où ce
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harmonie avec ces formes, et son langage avec les
rythmes
qu’elles traduisent. ⁂ Une forme, une image vivante : est-ce extérieu
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amuz. On a pu croire qu’il n’avait pas le sens du
rythme
: c’est qu’il veut le rythme formé sur la nature des choses qu’il évo
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avait pas le sens du rythme : c’est qu’il veut le
rythme
formé sur la nature des choses qu’il évoque, non point sur les modèle
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ense « mystification » de l’instinct faussant ses
rythmes
naturels, invertissant sa direction, exaltant le « désir de mort », d
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t c’est par là que cette passion se détachait des
rythmes
du désir charnel ; mais tandis que pour Tristan l’infini, c’est l’éte