1
’une impliquait le mariage, dont elle fit même un
sacrement
; l’autre exaltait un ensemble de valeurs d’où résultait — en princip
2
naturel et un crime contre l’ordre social. Car le
sacrement
unissait tout à la fois deux âmes fidèles, deux corps aptes à procrée
3
’on vient de rappeler. Elle niait tout d’abord le
sacrement
, comme n’étant établi par aucun texte univoque de l’Évangile83. Elle
4
», Études carmélitaines, avril 1938, p. 186). Le
sacrement
catholique reposerait soit sur le récit du miracle de Cana (« simple