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il y a mis 16 ans — les plus fameux produits des
services
de propagande officieuse. M. Marcel Hutin n’a qu’à bien se tenir. La
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es débats une conclusion précise : la question du
service
civil est ouverte. Une carrière pour les réformistes ! Mais il faut r
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. Ce peut être sur une éthique de puissance et de
service
; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal humanitaire ; ou su
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des Révolutions européennes — dans le domaine du
service
civil et des camps de travailleurs. Mais les tentatives de rupture pr
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caces d’ailleurs. ⁂ On a voulu mettre l’esprit au
service
du « minimum de vie » que n’importe quel animal s’assure à moins de f
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croyance vulgaire au bonheur, la religion mise au
service
de l’ordre, la permanence, les vertus trop massives. C’est l’espèce d
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balance politique. Tout ce qui n’est pas déjà au
service
des hommes, est déjà au service de ce qui les opprime. Notre individu
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n’est pas déjà au service des hommes, est déjà au
service
de ce qui les opprime. Notre individualisme travaille pour l’État. No
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t-ce à dire que le bien de tous doive être mis au
service
du bien de chacun ? Prenons garde de retomber ici dans un ordre contr
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tion. Le public littéraire rendit un très mauvais
service
aux écrivains surréalistes en les prenant pour ce qu’ils croyaient êt
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l à la solde des maîtres de forges, ou un chef de
service
aux finances prennent la parole au cours d’un banquet politique pour
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vais au milieu d’ouvriers, de jeunes miliciens du
Service
de travail, de jeunes filles, de femmes mal vêtues : ils ne disaient
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grands desseins et ordonnant toutes choses à leur
service
, c’est l’histoire des objets, des langages, des génies ou des organis
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s de jeunes gens dans les camps de vacances ou de
service
civil. Mais tout cela n’est encore que prodromes. Les premières grand
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Paul Vaillant-Couturier, Au
service
de l’Esprit (février 1937)af Ce « rapport » a été approuvé à l’una
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— Tout le problème est là : mettre la machine au
service
de l’homme. — Il s’agit de transformer le chômage en loisir. Je résu
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de, « [Compte rendu] Paul Vaillant-Couturier, Au
service
de l’Esprit », Esprit, Paris, février 1937, p. 812-814.
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spectent la politique, ne veulent la vérité qu’au
service
de l’action, vénèrent la force, et pratiquent la religion de la lutte
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pensée doit entrer dans l’action, non pas « à son
service
», mais au service de la vérité. Le mot d’incarnation résume cette po
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dans l’action, non pas « à son service », mais au
service
de la vérité. Le mot d’incarnation résume cette position. On nageait
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nnage individuel ou sociologique, et se mettre au
service
de quelque chose qui le dépasse, mais où il trouve enfin sa plus prof
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ntée autour des cols, dirait Liehburg ; milice au
service
du principe constituant de la fédération — et c’est pourquoi elle app