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ence pour les mensonges et les égoïsmes de la vie
sexuelle
, la vision d’une jouissance infinie, tout cela ne fait que donner sat
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e en fut l’extravagante idéalisation de l’attrait
sexuel
, sa transformation en passion. Et c’est de là que nous vient, par la
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lus exacte et largement vulgarisée des phénomènes
sexuels
. L’abondance même de ces recherches92 et de ces recettes me rend scep
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ussie de la Révolution connut un « déchaînement »
sexuel
de la jeunesse et presque de l’enfance, probablement sans précédent d
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sionnel » — donc puritain — contre cette anarchie
sexuelle
qu’il qualifie de « petite-bourgeoise ». (On n’ignore pas le sens mar
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’après-guerre n’atteignit pas un stade d’anarchie
sexuelle
comparable à celui de la Russie jusqu’à Staline. Mais le processus de
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inde de Schlegel — autant de signes de la panique
sexuelle
provoquée par la décadence des contraintes matrimoniales et du mythe
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moderne — qui a parlé le premier d’un « problème
sexuel
» — idée comique pour un Ancien. av. Rougemont Denis de, « La passi
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n Juan est bien typique d’une certaine déficience
sexuelle
. C’est dans l’état de fatigue générale, et sexuellement localisée, qu