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chrétienté, le début de la décadence. Il y a des
siècles
de lutte sourde entre ces deux vouloirs, et tant que dure la lutte le
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» est sécularisée, et qu’on ne peut demander à ce
siècle
de rompre avec lui-même, de s’arracher le cœur. Il n’y a de rupture p
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esprit. On sait ce que c’est que l’esprit, en ce
siècle
! Il a été admirablement défini par la Sorbonne, entre autres. 7. T
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Le malaise De même que le « spiritualisme » du
siècle
dernier mérite et conditionne le « matérialisme » de ce siècle, de mê
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r mérite et conditionne le « matérialisme » de ce
siècle
, de même que cette séparation de l’esprit et de la matière dénature e
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est née la présente corruption du travail. Notre
siècle
ne connaît plus ni le travail ni le loisir depuis qu’il a coupé leurs
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dra bien reconnaître insuffisante, nous a valu le
siècle
d’égarement que nous tentons maintenant de solder. Un siècle de machi
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arement que nous tentons maintenant de solder. Un
siècle
de machinisme, ou plutôt d’inflation mécanique, si l’on convient que
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s œuvres à une commune mesure humaine. Mais notre
siècle
est justement le siècle de la décadence des lieux communs. L’Ordre, l
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esure humaine. Mais notre siècle est justement le
siècle
de la décadence des lieux communs. L’Ordre, le Bien Public, la Riches
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jouait l’atome aux yeux des physiciens du dernier
siècle
: il est l’élément insécable qui marque la limite de décomposition d’
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haînes » qui, des profondeurs de la nature ou des
siècles
, ont amené au jour les vérités créatrices. Et, dans cette présentatio
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er l’un des problèmes les plus impressionnants du
siècle
? Avait-il conscience de l’aveu que signifiait son entreprise ? Car e
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isi ? L’utilitarisme grossier, le matérialisme du
siècle
vont-ils trouver en vous leur défenseur ? » — Je réponds simplement q
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ort que nous le voyons aujourd’hui, quand tout un
siècle
d’enseignement s’est appliqué à le fixer et à l’étendre. Mais il deme
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s de dire : « Qu’est-ce que la vérité ? » À vingt
siècles
de là, la voix « désabusée » d’un autre clerc parfait lui donnera cet
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a panique nationaliste dont la culture du dernier
siècle
est responsable ; vu l’intérêt que présenterait pour l’humanité d’auj
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nsi fait Goethe, et c’est là sa vertu. Mais notre
siècle
pose d’autres questions, des questions que Ramuz ne veut pas esquiver
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. Vous avez reculé la question de dix ans ou d’un
siècle
, je ne sais ; mais ce que je sais, c’est que tous nos pays se trouver
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us ignorer. Notons aussi que cet appel profond du
siècle
a commencé par se manifester dans les pays les plus atteints matériel
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à où le cadre national existait depuis un ou deux
siècles
, ces religions ne sauraient combler l’attente réelle. Elles ne sont p
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ts humains les plus féconds et authentiques de ce
siècle
. J’imagine l’historien futur étudiant l’inventaire de Petit, comme no
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es, nos institutions n’ont guère changé depuis un
siècle
, et c’est pourquoi l’on s’imagine que l’équilibre s’est stabilisé. Au
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vre d’un illuminé que toutes les académies de son
siècle
eussent rejeté avec mépris et pitié. Mais la gloire posthume est un «
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ce pays-ci, tel que l’ont fait sa nature et sept
siècles
d’histoire : le point de vue du personnalisme. ⁂ La question de la ne
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tre leurs corps une épée nue. Descendons quelques
siècles
et toute l’échelle qui va de l’héroïsme religieux à la confusion sans
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e de la princesse de C. C. donna lieu au début du
siècle
à toute une littérature romanesque. Quant au thème de l’ouvrier ou du
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ant nom d’homme, au sens actuel. Car pour ceux du
siècle
présent, je pense que la fidélité se définit comme la moins naturelle
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e et nos cultures qu’à partir des xiie et xiiie
siècles
, et par l’impulsion décisive de l’hérésie méridionale, il apparaît qu
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ns, ils embrassent mieux que nous la confusion du
siècle
, ils y sont installés carrément, et ils l’exploitent non sans une sor