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forcé. 14. Pour le chrétien, cette raison d’être
singulière
est la parole que Dieu lui adresse comme un ordre ; pour l’incroyant,
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gemont Denis de, « [Compte rendu] André Rouveyre,
Singulier
», Esprit, Paris, janvier 1935, p. 676-677. l. Le nom de l’auteur d
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ces contraires qu’il s’agissait de maîtriser — le
singulier
et le général — ont perdu l’une et l’autre leur dynamisme propre. Si
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s, qui ont chacun leurs raisons très concrètes et
singulières
de lire ce qu’un autre a écrit, d’écouter ce qu’un autre leur dit. Qu
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étiers. Certes, ce n’est jamais qu’avec des êtres
singuliers
, par le biais de leur singularité même, qu’on entre vraiment en conta
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rique valéryenne. Swedenborg présente le cas très
singulier
d’un savant encyclopédique, formé aux disciplines rationalistes du xv
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ù s’effacent les formes, les visages, les destins
singuliers
: « Non plus d’Isolde, plus de Tristan, plus aucun nom qui nous sépar
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passion est d’une nature à tel point subjective,
singulière
et incomparable, qu’on ne saurait en pressentir la gravité sans invoq
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rapprocher de la personne, plus le choix devient
singulier
. À cette personnalisation de l’être aimé correspond d’ailleurs une sp