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us hommes de chair, que l’esprit ? Cet esprit qui
souffle
où il veut, et nous mourons où nous pouvons, cet esprit qui dansait s
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nt fondés à parler du « vent de crétinisation qui
souffle
de l’URSS », mais les magnats de l’industrie lourde sont hypocrites q
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evues (septembre 1938)aw Combat (juin). — Un
souffle
révolutionnaire, ce serait trop dire, mais un bon courant d’air passe