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p haut — erreur romantique — ni trop bas — erreur
soviétique
. Mais bien à hauteur d’homme, et c’est la vérité personnaliste. Ensei
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mune mesure (novembre 1936)v w I. La culture
soviétique
Lorsqu’on critique les fondements doctrinaux du régime de l’URSS l
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comprendre à l’évolution nécessaire de la culture
soviétique
si l’on se refusait à l’examen critique des doctrines qui sont à sa b
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vée confirmée par les récents congrès d’écrivains
soviétiques
ou favorables aux Soviets. De toutes les confusions sentimentales ou
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ion n’est pas niable. Il est clair que les masses
soviétiques
sont toujours plus tentées de l’opérer, avec une bonne humeur et une
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caractère d’une mesure vivante ? L’idéal du Plan
soviétique
, qui est le monde intégralement socialisé, embrasse-t-il réellement l
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i de prendre conscience du danger. La littérature
soviétique
est née de la révolution. Elle s’est constituée en même temps que son
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n’en est pas moins une évidence. ⁂ Les écrivains
soviétiques
l’ont compris. Aussi les voit-on condamner la théorie marxiste origin
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ce changement de méthode : pour la nouvelle école
soviétique
, l’unité du peuple et des clercs n’est pas « quelque chose de donné »
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’inquisition intellectuelle exercée par les chefs
soviétiques
réussit à masquer son étendue. Le désir d’une mesure plus vivante se
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nt des auteurs pour dénoncer le « sans-dieuisme »
soviétique
. Il faudrait aussi se garder d’une certaine facilité sénile, dont la
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ation que j’ai esquissée à propos de la tentative
soviétique
vaut identiquement pour l’hitlérisme. Je puis la compléter maintenant
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montre le parallélisme paradoxal avec la culture
soviétique
. 61. Les Russes ajoutent : de l’oppression tsariste ; et les Alleman
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. Voire ! Gide reproche à la fameuse autocritique
soviétique
de ne consister « qu’à se demander si ceci ou cela est dans la ligne
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mesurait la valeur d’une culture selon des normes
soviétiques
, il faudrait en conclure que le régime allemand est très supérieur au