1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
1 uillet 1933)f Le malaise De même que le «  spiritualisme  » du siècle dernier mérite et conditionne le « matérialisme » de ce s
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
2 qu’on voit partout inséparables : matérialisme et spiritualisme . Voici l’aspect de vérité que la personne éclaire en eux : le matéria
3 est-il plus difficile d’être équitable envers le spiritualisme  : c’est qu’il nous a fait plus de mal, et que l’erreur matérialiste e
4 jet soit ou non présent. Mais alors le malheur du spiritualisme fut de se replier sur cette liberté pour la chérir dans sa précieuse
5 La révolte matérialiste trouve dans la carence du spiritualisme une espèce provisoire de justification. Il y a dans cette révolte un
3 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
6 os commissaires sont de bons écrivains. IV. Le spiritualisme consacre le préjugé utilitaire De tout ceci, retirons deux faits s
7 correspond toujours dans l’histoire au maximum de spiritualisme distingué. Le culte des principes en soi : voilà ce qu’il faut au rég
8 ions de la jeunesse qui repousse à l’unanimité un spiritualisme complice d’intérêts devenus criminels ; — constate : que le problème
9 Il résume une fois pour toutes les équivoques du spiritualisme . Pilate a dit le droit : « Cet homme est juste. » Ayant dit ses raiso
10 ils n’y croient qu’en théorie. Si bien que leur «  spiritualisme  » revient à tolérer sereinement l’exaction. 39. Cette échelle est au