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ésite pas à tirer bénéfice de la culture de cette
superstition
. S’il est vrai que certains individus « ont la veine » dans ces loter
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je mentirais si j’écrivais que je n’y crois pas.
Superstition
! Je m’étonne de ce que ce « reproche », que je me formule en vertu d
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ns assez heureux de cette découverte en moi d’une
superstition
réelle, capable de me faire agir, ou plus exactement, je suis heureux
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ne accession à la condition générale ! Avouer ses
superstitions
, ce serait avouer ce qu’on a de plus individuel, de plus irréductible
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ordinaire d’avouer sa réalité individuelle et ses
superstitions
, c’est sans doute en vertu d’une prudence qui est le fondement même d
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ue ». Et si j’avoue et légitime la réalité de mes
superstitions
, il faut tout de suite que j’oppose à cet aveu une contrepartie raiso
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ades superstitieuses ? Accorder libre cours à nos
superstitions
, qui au point de vue psychologique sont notre vraie réalité, ce serai
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éductibles, dans le sens du jeu le plus libre des
superstitions
que j’ai dites, et dont l’éducation se fait très lentement sous l’inf
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le voudra.) Ces deux faits définis, revenons à la
superstition
du peuple. Je l’approuve et je la partage en fait le plus souvent, qu
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nc que l’homme se défend de moins en moins. Ses «
superstitions
» personnelles (son quant-à-soi), vaincues par une crise dont ce n’es
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ement. L’homme cessant de croire à sa loi — à ses
superstitions
incomparables — se met à croire de la même manière aux lois et aux po
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’un refoulement, puis d’un transfert fatal de nos
superstitions
les plus valables que naissent par exemple la menace fasciste et l’en