1
quelques écrivains vont faire appel aux principes
suprêmes
(c’est-à-dire fondamentaux) de l’éthique, devant huit officiers corre
2
tichrétien.) Mais c’est aussi pourquoi il y a une
suprême
imposture dans tout programme prétendu chrétien, dans toute politique
3
n’admet point le mariage, car il n’a pas pour fin
suprême
la vie, mais bien la mort libératrice des liens terrestres : comme l’
4
tendu est à peu près que la passion est l’épreuve
suprême
, que tout homme doit un jour la connaître, et que la vie ne saurait ê
5
lui qui d’abord exalte la passion, comme étant la
suprême
valeur du « stade esthétique » de la vie ; puis la surmonte en exalta
6
la vie ; puis la surmonte en exaltant le mariage,
suprême
valeur du « stade éthique » (c’est la « plénitude du temps ») ; puis
7
ude du temps ») ; puis condamne enfin ce mariage,
suprême
obstacle du « stade religieux », puisqu’il nous lie au temps, précisé
8
uver et d’accéder à une vie supérieure, la « joie
suprême
» d’Isolde agonisante. Fidélité qui consume la vie, mais qui consume
9
ait l’angoisse d’être deux ; et son aboutissement
suprême
, c’était la chute dans l’illimité, au sein de la Nuit où s’effacent l