1 ndré Breton, Point du jour (décembre 1934)j Le surréalisme s’est présenté comme révolution, et comme tel il a bénéficié pendant

2 l criait fort et bien, mais mordait peu. C’est le surréalisme , en somme, qui demeure responsable des premières graves confusions co

3 e. Faut-il donc mettre une barre sous la rubrique surréalisme , et verser tout cela au compte des profits et pertes d’une « élite »

4 ature. Nous n’avons pas le cœur à ces injures. Le surréalisme garde une valeur de fait témoin, d’ordre spirituel ; à ce titre, il m

5 ivré de l’esthétisme aristocratique des débuts du surréalisme . Mais que penser alors de cette conclusion : « Ils (les poètes) ont l

6 ération » nouvelle de celle qui s’illustra par le surréalisme . Littérature présente au monde dans lequel et contre lequel elle s’éd