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tout qui explique la carence des gouvernants, la
timidité
de leurs réformes, l’incohérence de leurs décrets. C’est cette angois
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ns sa grandeur, sans crispation de méfiance ou de
timidité
; dans une volonté de synthèse, et non point dans la crainte perpétue
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t le conforme ; d’un défaut d’imagination ; d’une
timidité
méprisable ; d’un calcul d’intérêt sordide… L’habitude des modernes,
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tenir aux faits seuls, aux faits bruts, c’est une
timidité
de l’esprit qui recule devant son acte propre : donner un sens, voir