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pour leur usage par les hommes de ce temps est à
tous
points de vue le plus irrespirable à l’homme. 2° Les fondements idéol
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t d’avouable, qui fait qu’on invoque son nom dans
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les cas où il s’agit en vérité de conscience de classe, de conscience
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fondateurs : le retour à l’Évangile débarrassé de
tous
les adoucissements dogmatiques et compromis ecclésiastiques, sans ces
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l’avant-garde du mouvement révolutionnaire, dans
tous
les pays où le protestantisme domine, des protestants qui loin de ren
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en en particulier dans son Éthique politique pose
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les problèmes de l’heure avec une lucidité et un courage intellectuel
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re sur la « rupture » à laquelle nous travaillons
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ici. 9. Son autobiographie a été traduite en français sous le titre
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hacun sera la condition du libre abrutissement de
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par la propagande électorale. Prendre le travail comme point de dépar
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pas littérateurs, qui seront la littérature quand
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les autres auront passé. Mais la conscience bourgeoise les ignore ave
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selle, ce principe de grandeur que nous proposons
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ici, c’est l’homme considéré dans sa vocation créatrice, — c’est la p
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ent la coutume bourgeoise, qui est la négation de
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leurs idéaux. Certains verront peut-être dans l’Ulysse de Joyce une s
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ses vrais buts, et préfère parler d’autre chose.
Tous
nos romans ne sont que diversions, idéalistes ou immoralistes, s’ils
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rait quelque chose de nouveau dans les lettres si
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les essayistes étaient tenus à rendre un compte public des fins extrê
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? Pourquoi vous ne pensez jamais aux désespérés ?
Tous
vos livres disent non à la vie. C’est facile d’être négatif. Et je n’
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illeurs que dans son assimilation existentielle à
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les autres. Mais ces concepts, un à un, ne peuvent être saisis dans l
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ociale et politique. Est-ce à dire que le bien de
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doive être mis au service du bien de chacun ? Prenons garde de retomb
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mais une position de fait. La voici : le bien de
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n’est ni concevable ni réalisable aux dépens du bien de chacun ; il n
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rder pur, et reste virtuel. Il se croit maître de
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les objets, mais néglige d’en choisir aucun. Il chante sa grandeur, m
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dirait un peintre. Il est remarquable que presque
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les écrivains de ces années éprouvent simultanément le besoin de s’ex
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s « déclassés » comme le sont aujourd’hui presque
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ceux qui entrent dans la vie. Mais en parlant d’étude, je fais tort a
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e au marais est une merveille de « naturel » dans
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les sens de ce terme ; je ne vois pas d’écrivain français qui ait jam
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s la race de fer qui sauvera l’Europe menacée par
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les peuples de couleur ? Aux dernières pages, nous voyons Bell, le ch
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estin allemand l’un des secrets de notre destin à
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? L’ostracisme de nos critiques est d’ailleurs d’autant plus absurde
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langage rationnel. Il s’agit donc de faire sauter
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ces « barrages », de confondre à nouveau rêve et veille, et de ressus
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s économiques, ce rappel d’une misère qu’ignorent
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les partis, voilà qui rend un son que nous reconnaissons. Voilà qui a
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ux. En liaison étroite avec l’enseignement qui, à
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ses degrés, forme les esprits aux méthodes de la recherche et de la s
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écouvertes, de salles destinées aux chercheurs de
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les pays, qui viendront se retremper à Paris, d’amphithéâtres pour le
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Professeurs, députés ou commissaires, ils croient
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tant qu’ils sont que l’esprit est une espèce de luxe vénérable et vol
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ceux-ci au cartésianisme vulgaire qui traîne dans
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les journaux, il y a toute la distance d’une erreur à un préjugé. Mai
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on corps, jamais un tel esprit n’est né dégagé de
tous
liens, irresponsable. Et s’il existe en apparence des êtres qui mérit
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ui excuse en fin de compte — à leurs yeux seuls —
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leurs refus de conclure37, c’est-à-dire de s’engager, où ils voient l
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ser et de transmettre les doctrines des clercs de
tous
ordres qui devaient régir la cité et qui se vendent ou se désintéress
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’un Palais de l’Esprit destiné à servir de club à
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ceux qui voudront discuter en public les questions suivantes : a) déf
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mots aient un sens, un sens commun, et entendu de
tous
, il faut que le terme — la fin — soit proclamé par des prophètes. Non
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sponsables de ce qu’elles ont à donner, qui est à
tous
. 24. « Pour un Palais de l’Esprit », Nouvelles littéraires du 6 av
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. Duhamel, si j’en crois l’article cité : « Comme
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les Français, je répugne à dépenser beaucoup d’argent pour un ouvrage
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. 28. J’entends : à la grande masse du peuple, à
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ceux qui ne sont pas intellectuels, et qui sont les premiers à souffr
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me la fonction spectaculaire, « distinguée » dans
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les sens du terme, par suite inapte à modifier le réel par son jeu mê
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espèce de nuit du 4 août de la pensée, abdiquant
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ses privilèges pêle-mêle, entre les mains du bureau d’un parti, d’un
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commence là ». « Anti-fascistes », nous le sommes
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ici, s’il s’agit de prendre parti, en France, contre un mouvement pol
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s souliers qui brillent. » Il y en a dans presque
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les livres de Ramuz, de ces taupiers qui portent des bonnets de poil
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de la tradition des classiques, comme ils le sont
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plus ou moins, paraît toujours s’excuser de l’emploi qu’il fait, par
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chologie d’école, qui domina et qui domine encore
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les romans à la Bourget, consiste à rattacher par convention, presque
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r eux — mais la biblique, qui est vivante.) Ainsi
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parlent un même langage, qu’ils l’inscrivent sur le papier ou dans la
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ur le papier ou dans la terre qu’ils travaillent.
Tous
participent de l’incarnation du mythe. ⁂ Voyez Les Signes parmi nous.
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avance dès le matin à travers le pays, et offre à
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la Parole « ayant l’aspect d’une brochure à couverture bleue » où les
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énètre dans les cours de ferme, dans les cafés. À
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il tend la Parole « morte aux pages » ; mais voici que de toutes part
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ans l’harmonie des sons, mais bien dans la pesée.
Tous
les procédés ramuziens : juxtapositions brusques, interférences du ré
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conventions et de prudences… Ramuz commence là où
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les intermédiaires sont supprimés. Goethe cherche une économie des mo
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ais par goût de l’effort. Si Ramuz tend à rejeter
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les intermédiaires culturels, s’il critique le machinisme, s’il raill
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, celle de la plénitude de cette œuvre. Par-delà
tous
les pays, il y a peut-être le Pays (perdu, puis retrouvé, puis perdu
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st à la ré-apercevoir pour un instant que tendent
tous
les arts, et à nulle autre chose ; à quoi tendent les notes et à null
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à quoi tendent les notes et à nulle autre chose ;
tous
les mots qu’on écrit, les tableaux qu’on peint, les statues qu’on tai
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pour la défense de la culture, en 1935, citèrent
tous
comme exemple impressionnant de l’ascension culturelle des masses la
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s et matérielles ? La réponse me paraît évidente.
Tous
les témoignages que nous possédons sur l’état d’esprit des membres du
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ndiose et coloré ainsi d’héroïsme, éclate alors à
tous
les yeux. Si les Russes sont de bonne humeur et si nous sommes de mau
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que, cette puissance animatrice qui doit être, en
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les domaines, le caractère d’une mesure vivante ? L’idéal du Plan sov
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ensée et de l’action : « Donnez d’abord le pain à
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, et le reste viendra par-dessus. » Telle fut la grande maxime du Plan
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, et qui ressemble à celle des nouveaux riches de
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les temps. Nous avons fait des expériences dont ils ne soupçonnent pa
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ècle, je ne sais ; mais ce que je sais, c’est que
tous
nos pays se trouveront un jour futur en face des mêmes tâches décisiv
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symboles visibles et dont le sens fût reconnu de
tous
, prince et sujets, clercs, soldats et marchands législateurs et pédag
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ssein, c’est l’incarnation d’une mesure commune à
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les ordres et qui les harmonise. La question de la mesure d’une civil
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s d’un bonheur à venir et d’une grandeur digne de
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les sacrifices. Et comment ne croirait-on pas à la grandeur, même ou
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communauté moderne. Elle est la toile de fond de
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nos drames, de nos pensées, de nos actions et même de nos utopies. La
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igions nouvelles nous met au défi de résoudre sur
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les plans le grand dilemme que voici : — ou bien nous perdrons notre
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qu’il se possède dans ses relations actives avec
tous
ses prochains. C’est à nous qu’il incombe aujourd’hui d’opérer cette
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ces documentaires, une critique de l’État — « Le
Tous
contre un » — et de son emprise sur nos vies. Critique dont la portée
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effort d’Henri Petit pour sauver d’une foi perdue
tous
les trésors de la « spiritualité », qu’une dernière, et subtile, et m
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r par refaire et qui suppose le développement sur
tous
les plans de la révolution personnaliste. Nous ne répétons ces choses
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incipal — il y a bien une centaine de personnages
tous
nobles ou riches — finira certainement dans le marxisme : l’auteur l’
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udrais appeler une critique de consommateur (dans
tous
les sens de l’expression), c’est l’euphorie géniale du dessert ! ah
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on sait, de Clausewitz. Il passionnera d’ailleurs
tous
ceux qui cherchent à connaître l’état réel des forces dans le monde p
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porte où, elle est sûre de gagner quelque chose à
tous
les coups. » Voilà ce qu’on peut entendre dans toutes les épiceries d
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ntir une exception, un type spécial, différent de
tous
les autres… Et ce n’est guère qu’à l’instant où l’on découvre que tou
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e n’est guère qu’à l’instant où l’on découvre que
tous
les autres en croient autant, que ces autres cessent d’être une menac
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la même que l’on s’éprouve absolument distinct de
tous
les autres. 1er mars Si l’on craint d’ordinaire d’avouer sa réalité i
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homme dans sa situation concrète et ses habits de
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les jours, sa maladresse et son étrangeté. Alors seulement quelque ch
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ilité avec des hommes de toutes les classes et de
tous
les métiers. Certes, ce n’est jamais qu’avec des êtres singuliers, pa
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s faméliques reniflaient la trace de la chienne à
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les étages du vallon. Ils grimpaient les escaliers, redescendaient, p
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t à chaque saut, et puis cela revenait bientôt de
tous
côtés. Haletants, craintifs et obstinés. Après le déjeuner, flânant a
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in temps, je jette quelques poignées de terre sur
tous
ces ventres. Ils vont se coucher un peu plus loin. Un ou deux se défi
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cte d’accusation, et un aveu de chaque homme pour
tous
les autres : « Je suis plus près de leur erreur que de ma vérité. » P
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plus virile que l’auteur demande au lecteur pour
tous
les êtres auxquels il est mêlé. Et qu’il l’obtienne à cette profondeu
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de Lautréamont : « La poésie doit être faite par
tous
. Non par un. » On a mis le poète sur un sommet. Mais voici : « Au som
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de Péguy, de Claudel, de Rolland, de Bergson, qui
tous
, bien qu’« heureux » (selon Benda) ont défendu les thèses que M. Bend
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grand penseur, mais M. Dekobra est notre maître à
tous
. Et s’il est vrai que celui qui refuse d’endosser les conséquences de
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sous l’égide de la foi chrétienne. Entreprise en
tous
points comparable à celle d’un Pic de la Mirandole, pour ne prendre q
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ntissement du moi, qui est sans conteste celui de
tous
les mystiques, orientaux ou occidentaux, païens ou chrétiens, hétérod
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vidualistes. « Le moi est anéanti, écrit M. Lamm,
tous
les traits de la personnalité sont volontairement effacés. c’est ce q
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voir, à dire, à illustrer, à incarner aux yeux de
tous
les grandes et fortes raisons de notre neutralité, celle-ci sera bala
90
La première devise des Suisses, ce fut « Un pour
tous
, tous pour un ». C’est la formule la plus frappante et la plus juste
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emière devise des Suisses, ce fut « Un pour tous,
tous
pour un ». C’est la formule la plus frappante et la plus juste de l’e
92
ste. Notre instruction publique très développée à
tous
les degrés, mais fondée sur une conception de l’homme incroyablement
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que — c’est la morale passionnelle ou romanesque.
Tous
les adolescents de la bourgeoisie occidentale sont élevés dans l’idée
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rnir à la passion une espèce de modus vivendi, et
tous
ces livres aggravant au contraire notre conscience du problème, contr
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d de l’être et non de l’avoir : les moralistes de
tous
les temps l’ont répété, et notre temps n’apporte rien qui doive nous
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croire, à l’âge du film et du roman — nous sommes
tous
plus ou moins intoxiqués, — et cette nuance est décisive. Le moderne,
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nos jours une puissance inconnue, développée par
tous
les moyens techniques, et bientôt politiques, en sorte que le choix d
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eurs de mode ou de commerce qui changent au moins
tous
les six mois. Supposons, comme il est probable, qu’il se fixe enfin s
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mmes, et dont la sienne se trouve privée (même si
tous
la jugent la plus belle). C’est qu’il ne sait plus posséder ni plus a
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sort pour succomber au tourment exemplaire. Mais
tous
ou presque tous en rêvent, ou en rêvassent. Et si brouillée et défraî
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mber au tourment exemplaire. Mais tous ou presque
tous
en rêvent, ou en rêvassent. Et si brouillée et défraîchie que soit l’
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n outre, il est frappant de constater que presque
tous
ces sages auteurs donnent quelques lignes à la louange de la passion,
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e bien commun prime l’intérêt particulier. Et par
tous
les moyens spectaculaires, pédagogiques, voire religieux, on opéra ce
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s continue à célébrer son autoculte mensuel, cite
tous
les éloges qu’il reçoit par l’argus ou le courrier, renchérit encore,
105
outes les raisons de la terre, et les conseils de
tous
nos arts de vivre, quand c’est la terre qui est méprisée, et la vie q
106
illeurs esprits demeurent absolument valables. De
tous
temps, les raisons des philistins ont eu mauvaise conscience devant l
107
it Nietzsche. Et Kierkegaard a raison plus qu’eux
tous
, lui qui d’abord exalte la passion, comme étant la suprême valeur du
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cette passion chrétienne est la seule vérité, et
tous
nos « devoirs » humains (dont le bonheur) ne peuvent que nous en déto
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ui refusaient le célibat ; puis Luther et Calvin,
tous
deux mariés ; puis les Pères pour avoir loué le mariage ; enfin saint
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tes l’idéal de mes rêves, vous comblez et au-delà
tous
mes désirs, vous êtes l’Iseut toute belle et désirable — et munie d’u
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ais l’obstacle n’est pas sérieux, on le tourne de
tous
les côtés. Voyez les excuses invoquées par le mari qui trompe sa femm
112
rant des valeurs aujourd’hui vénérées par presque
tous
. Elle représente le plus profond non-conformisme. Elle nie la croyanc
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ont point séparables ou concevables isolément. Et
tous
les trois supposent un parti pris96, une attitude fondamentale de cré
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successives fidélités de nos « liaisons », et de
tous
ces Tristans qui ne sont au vrai que des Don Juan au ralenti.) Où est
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rel se manifeste par le viol, preuve d’amour chez
tous
les barbares. Mais le viol, comme la polygamie, révèle que l’homme n’
116
nce d’un parti, c’est la somme des abdications de
tous
ses membres. 18. Lorsqu’un parti — comme ils le désirent tous plus ou
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bres. 18. Lorsqu’un parti — comme ils le désirent
tous
plus ou moins courageusement — s’empare de l’État, la puissance de ce
118
cet État devient la totalisation des lâchetés de
tous
les citoyens. 19. Tout parti est totalitaire dans son essence, et pré
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puisse l’assumer. » Eh bien quoi ? Nous en sommes
tous
là ! Mais faut-il vraiment s’en réjouir ? Si l’on appelle catholique
120
r l’État, et vous serez bientôt en plein délire :
tous
les partis nommeront des commissions pour savoir si l’usage du savon
121
ique, pour des raisons bien évidentes, connues de
tous
, et qui ne relevaient point de la lutte des partis. C’est pourquoi le
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ce, les partis s’arrangent en général pour rendre
tous
les problèmes aussi insolubles que leurs principes respectifs sont in
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ogne : pays de blonds et les noirs sont suspects,
tous
les villains de nos films ont les cheveux noirs. De plus l’Allemand e
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lus grand nombre en tire le plus de profit. Comme
tous
ceux qui décrivent une nation étrangère, j’ai péché par stylisation.
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es et de martingales, — d’ailleurs communiquées à
tous
les joueurs — suffiraient pour que chacun gagne. Enfin, ils ne croien
126
r créatrice d’un certain gaspillage lyrique, dans
tous
les domaines de la vie ; car notre économie minutieuse des moyens, su
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d’eux le sens spirituel de la mise en pratique à
tous
risques d’un idéal même imparfait ; car notre rigorisme intellectuel
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Car il n’est de liberté réelle qu’en avant, dans
tous
les ordres, à chaque instant, — si l’on veut bien y réfléchir en refe
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d’une civilisation qui serait perdue, perdue pour
tous
et non seulement pour nous ! Ce n’est donc pas au nom de je ne sais q
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es. Ce qu’il nous faut demander, et obtenir, nous
tous
, c’est que les nations européennes s’ouvrent d’abord les unes aux aut
131
rent d’abord les unes aux autres, suppriment, sur
tous
les plans, frontières et visas, renonçant au dogme meurtrier de la so
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uler, d’arranger sans les tuer, les diversités de
tous
ordres (politiques aussi bien qu’économiques) dans un corps, non dans
133
ue par excellence, n’en déplaise aux sectaires de
tous
bords. […] À l’homme considéré comme pur individu, libre mais non eng