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eu s’oppose à cette loi des hommes qui veut qu’on
tue
. Une décision se formule, peut-être pour la première fois, dans la so
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entre les idéaux pour lesquels nous nous ferions
tuer
, et les buts de ceux qui nous feraient volontiers tuer. Jean-Richard
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et les buts de ceux qui nous feraient volontiers
tuer
. Jean-Richard Bloch l’a dit à la barre des témoins : Martin fait dans
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jamais à bout dans mon esprit. Voici : l’homme a
tué
Dieu. Alors est venu l’État, qui n’a plus rien au-dessus de lui pour
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lement étriquée, devient une espèce d’asepsie qui
tue
les germes de toute création. (La culture suppose plus de folie, supp
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faudrait développer une violence spirituelle qui
tue
mieux que la passion d’amour : celle au moins de l’orthodoxie contre
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sée, et la vie qui est la faute à racheter ! Mais
tuer
l’homme avant qu’il ne se tue, et le tuer autrement qu’il ne veut l’ê
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à racheter ! Mais tuer l’homme avant qu’il ne se
tue
, et le tuer autrement qu’il ne veut l’être, c’est bien de cela, de ce
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! Mais tuer l’homme avant qu’il ne se tue, et le
tuer
autrement qu’il ne veut l’être, c’est bien de cela, de cela seul qu’i
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t temporelle ne mérite pas d’être adorée, ni même
tuée
, mais peut être acceptée dans l’obéissance à l’Éternel. Voilà le sens
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chrétienne ! Car voici : cet homme mort au monde,
tué
par l’amour infini, devra marcher maintenant et vivre dans le monde c
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ouver les moyens d’articuler, d’arranger sans les
tuer
, les diversités de tous ordres (politiques aussi bien qu’économiques)