1 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
1 seins, mais c’est toute une éducation culturelle, universitaire , qui l’a sans le vouloir autorisée. Je ne crois guère aux plans machi
2 les réveiller. Toute notre formation scolaire et universitaire repose sur une maxime d’autant plus efficace qu’elle est inavouée et
3 ienne de la division parcellaire.) Le « sérieux » universitaire consiste, en gros, à déconcrétiser33 les disciplines de la pensée. C’
4 qui consisterait dans une psychanalyse du sérieux universitaire , considéré comme traduisant une fuite devant l’actualité de la pensée
5 t le souci d’honnêteté et de sérieux de la pensée universitaire aboutit nécessairement à un faux (« se boucher les yeux »). Elle post
2 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
6 siasme. C’est ce que l’on nomme du beau travail d’ universitaire  : l’absence de tout intérêt existentiel garantit « l’objectivité » de
7 ivité qu’affecte M. Lamm, selon la pure tradition universitaire et bourgeoise, me paraît doublement onéreuse pour la vérité, voire po
3 1939, Esprit, articles (1932–1962). D’une critique stérile (mai 1939)
8 ique par un excès de critique négative, d’origine universitaire , ou comme on dit : « intellectualiste ». Je ne pense pas que cela soi