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sauvegarde des hautes valeurs spirituelles et des
vérités
saintes que l’Académie d’éducation et d’entraide sociale a pour missi
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iété, l’idée chrétienne5, les hautes valeurs, les
vérités
saintes, — l’Académie d’entraide sociale enfin ! Contribution à la «
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s aussi opportun de la part de nos romanciers. La
vérité
, c’est que la bourgeoisie n’ose plus défendre ses vrais buts, et préf
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iétique. Mais bien à hauteur d’homme, et c’est la
vérité
personnaliste. Enseigner, c’est rappeler aux hommes les fins de leurs
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fondement de tout », nous avons à connaître cette
vérité
de la personne : qu’elle est toute dans sa communication, laquelle do
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À la lumière de la personne, on voit paraître la
vérité
de plusieurs doctrines humaines qui s’entrebattent dans la confusion
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matérialisme et spiritualisme. Voici l’aspect de
vérité
que la personne éclaire en eux : le matérialisme a compris qu’il y a
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en vitesse au dernier paragraphe. Tout cela d’une
vérité
proprement désarmante. M. Meunier atteint sans effort apparent la per
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e la nature ou des siècles, ont amené au jour les
vérités
créatrices. Et, dans cette présentation sous un même toit de ces acti
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it ? Ne vient-il pas de dire : « Qu’est-ce que la
vérité
? » À vingt siècles de là, la voix « désabusée » d’un autre clerc par
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parfait lui donnera cette réplique fameuse : « La
vérité
est peut-être triste. » Réponse qui n’est encore qu’une question dégu
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pçon de Renan trahit un doute, et un doute sur la
vérité
: ce qui est « peut-être triste », insondablement triste, c’est que «
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insondablement triste, c’est que « peut-être » la
vérité
n’existe pas. Et si la vérité n’existe pas, comment serions-nous donc
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ue « peut-être » la vérité n’existe pas. Et si la
vérité
n’existe pas, comment serions-nous donc fondés à juger, à risquer en
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is venu dans le monde pour rendre témoignage à la
vérité
. » Unanimité contre lui des clercs de droite, des clercs de gauche, e
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que vient-il faire parmi nous ? Qu’est-ce que la
vérité
? demande encore Pilate. (Il lui tend encore cette perche !) Mais l’h
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perche !) Mais l’homme ne répond plus : il est la
vérité
, la réponse en chair et en os. Il faudrait se « boucher les yeux… » C
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nne, depuis la guerre, nous enseigne deux grandes
vérités
empiriques : d’une part, les clercs nantis, volontiers spiritualistes
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dont il se targue ne comportant aucune espèce de
vérité
pratiquement contraignante, éthique (analogue à la vérité contraignan
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ratiquement contraignante, éthique (analogue à la
vérité
contraignante de la foi), l’affirmation et la prédication de ce droit
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Mais qu’est-ce que la justice ? Qu’est-ce que la
vérité
? Valent-elles qu’on leur sacrifie sa situation de gouverneur ? Ces J
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auteur de cette phrase : « Authenticité, réalité,
vérité
, matière : autant de synonymes ou presque.42 » ⁂ « Qu’on n’aille pas
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crée les formes en même temps que notre œil. « La
vérité
est une pensée matérialisée, la vérité doit exister non seulement en
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œil. « La vérité est une pensée matérialisée, la
vérité
doit exister non seulement en nous, mais devant nous. Non seulement e
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llemands ; puis Rimbaud qui voulait « posséder la
vérité
dans une âme et un corps ». Aujourd’hui, c’est un Rilke, un Claudel,
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mensonges, surtout lorsqu’ils essaient de dire la
vérité
. Contre cette inflation nominaliste, il n’est pas de défense plus sûr
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cation totale, — ou sa révolte, mais au nom d’une
vérité
qu’il faudrait dire. Maintenant il y va de notre tout. La question de
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ite du concret. Mais ses racines plongent dans la
vérité
. Nous aussi, nous dirons qu’il faut « faire ». Nous ajoutons : tout c
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a forme existante. « La figure a été faite sur la
vérité
, et la vérité a été reconnue sur la figure » (Pascal, cité par Ramuz)
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nte. « La figure a été faite sur la vérité, et la
vérité
a été reconnue sur la figure » (Pascal, cité par Ramuz). 44. Comme R
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-dire choisissons nos buts prochains au nom d’une
vérité
finale qui ne connaît pas nos contingences. Voilà la tension créatric
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ingences. Voilà la tension créatrice : réalité et
vérité
assumées dans une seule volonté. Il reste à remplacer chacun des term
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traire. Elles veulent la force et nous voulons la
vérité
. Elles veulent la force du grand nombre, et nous voulons la force per
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voulons la force personnelle, celle que donne la
vérité
. Notre mesure commune ne sera pas collective, extérieure à notre pers
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otre devoir européen est d’exercer la vocation de
vérité
qui est la nôtre avec un maximum de violence créatrice. 52. C’étai
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où les clichés romanesques retrouvent enfin leur
vérité
originelle. Et l’on se laisse aller à de vieux trucs trop éprouvés, a
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sse. Il est totalement impossible de concevoir la
vérité
simultanée de notre science et de la « veine » individuelle. C’est l’
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es : « Je suis plus près de leur erreur que de ma
vérité
. » Parfois l’on songe au Rilke des Cahiers, — sans la vibration slave
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M. Benda décrivait l’autre jour à l’Union pour la
vérité
, une « querelle des générations » dont il définissait comme suit les
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méprisaient l’action politique, — cultivaient la
vérité
désintéressée, — respectaient les principes éternels, — la liberté in
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alheureux, respectent la politique, ne veulent la
vérité
qu’au service de l’action, vénèrent la force, et pratiquent la religi
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non pas « à son service », mais au service de la
vérité
. Le mot d’incarnation résume cette position. On nageait en pleine con
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elui qui refuse d’endosser les conséquences de sa
vérité
prouve par là qu’il en a plus de respect que celui qui s’efforce de l
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elui qui s’efforce de la réaliser, — c’est que la
vérité
dont il s’agit ressemble pas mal au néant. Soyons sérieux : la majori
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bourgeoise, me paraît doublement onéreuse pour la
vérité
, voire pour l’intelligence. D’abord en ce qu’elle rend un livre de ce
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ureux », et cette passion chrétienne est la seule
vérité
, et tous nos « devoirs » humains (dont le bonheur) ne peuvent que nou
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sociaux, et incapable désormais de concevoir les
vérités
« cruelles » de l’esprit, dont parle Nietzsche. Mais si je sais que
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is néanmoins que cet effort porte en lui-même une
vérité
imperturbable s’il témoigne sans cesse en faveur de ce qui transcende
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xige pas moins que cet engagement pour révéler sa
vérité
. Et c’est pourquoi l’homme qui croit au mariage ne peut plus croire s
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qu’il serait assez absurde de confondre avec des
vérités
psychologiques. Notre analyse du mythe nous a fait voir pourquoi l’on
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elle on renoncerait un beau jour pour adopter une
vérité
meilleure. Nous sommes sans fin ni cesse dans le combat de la nature
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ver des objections précises111 par un recours aux
vérités
les plus redoutables de la loi. Mais il faut bien remarquer le point
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Dieu. » Le vieux fou de Transjordanie profère une
vérité
première. (J’avais été tenté de citer l’anecdote dans mon livre.) Pla
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s dans le monde concret de la chute, le monde des
vérités
secondes, équivoques, mêlées de mensonge. Dans ce monde concret, il n