1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
1 e par l’erreur même. La femme poursuit : Mais ne vante-t -on pas partout votre courage ? N’aurez-vous jamais que le plus bas ?
2 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
2 ent trop que faire de cette liberté dont elles se vantent . Elles s’en vantent d’ailleurs de moins en moins. En France, en Angle
3 e cette liberté dont elles se vantent. Elles s’en vantent d’ailleurs de moins en moins. En France, en Angleterre, en Suisse, en
3 1937, Esprit, articles (1932–1962). La fièvre romanesque (janvier 1937)
4 é fiévreux. La question est ailleurs : va-t-on se vanter d’être si faible que de céder à toutes ses obsessions ? (Je feindrai
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). M. Benda nous « cherche », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)
5 n. On nageait en pleine confusion. Les anciens se vantaient et accablaient les jeunes. Ceux-ci refusaient de se reconnaître dans
6 s. Il est encore en pleine affaire Dreyfus. Il se vante d’être intemporel, mais il n’est guère qu’anachronique. Partisan qui
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
7 er chaque mois le procès d’une littérature qui se vante d’être « insignifiante » — c’est-à-dire sans but, privée de « sens »
6 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
8 e la manière la plus fatale à ce fédéralisme tant vanté . Autant de constatations qui dictent à notre action des objectifs imm
7 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
9 re étranger ; reste à savoir si j’ai lieu de m’en vanter  ; reste à savoir si ce n’est pas là, précisément la solidarité dans l