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igieuse s’éveille dans ces masses, elles risquent
aussi
bien de se satisfaire par les moyens les plus grossiers, et par exemp
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igions s’ouvre à nous, chargée de promesses, mais
aussi
de menaces. Ère nouvelle pour les chrétiens qui pensaient n’avoir plu
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communautaire, qui dès maintenant se pose à nous
aussi
. Car si d’autres y ont mal répondu — les communistes et les fascistes
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la liberté dans les pays où elles sévissent, mais
aussi
bien chez les voisins qu’elles secouent d’un défi grossier. La libert
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et aux sociologues, on voudrait qu’elle atteigne
aussi
le grand public, que l’enquêteur attrape le premier venu par le rever
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proclamait la République, il allait essayer, lui
aussi
, de pratiquer les droits de l’homme… Et puis l’on fut contraint de se
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« Le matin vient, et la nuit
aussi
» (7 juin 1939)e Le désarroi de l’époque — nous lisons cela partou
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nde et la seule différence. Et voilà notre chance
aussi
. L’homme n’est pas fait pour vivre en état de guerre, au sens moderne
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ts au progrès, la chance d’une grandeur qui, elle
aussi
, pourrait être sans précédent. Comme toute génération sérieusement av
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dis-tu de la nuit ? — Le matin vient, et la nuit
aussi
! » C’est toujours le même drame que nous vivons, qu’il s’agisse de f
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Rougemont Denis de, « ‟Le matin vient et la nuit
aussi
” », Le Figaro, Paris, 7 juin 1939, p. 1 et 3. f. « Kaur » dans la ve
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stratosphère… Quant aux voyages ? Ils vont mourir
aussi
, avec la poésie de la durée, de la distance et de la nostalgie. Jusqu
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s-cent-mille morts et créé une menace planétaire.
Aussi
défendent-ils tous l’idée que la guerre des bombes serait la fin des
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de plus pacifiantes. Mais l’Histoire nous apprend
aussi
que l’homme est stupide et mauvais, qu’il a peur de voir grand, et qu
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dont je sors, qui est l’un des mieux courus, est
aussi
le plus atomique. Parmi les sous-secrétaires d’État, les diplomates e
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notre compte en banque. Rien ne laisse les hommes
aussi
indifférents que le sort de l’humanité, dont les chefs d’État parlent
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Jules Verne n’a pu le rêver. C’est cela, et c’est
aussi
le cauchemar des visas. Si cette folie furieuse et inutile ne régnait
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anité de leurs bourreaux… Cependant, je rencontre
aussi
quelques Français qui, avant la guerre refusaient de croire Hitler si
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chronique, l’Allemagne est un danger nouveau bien
aussi
grave qu’au temps d’Hitler. C’est un enfer à notre porte. Et rien n’e
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tler. C’est un enfer à notre porte. Et rien n’est
aussi
contagieux. Il s’agirait de l’exorciser. Mais l’attitude que je viens
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pour effet de rendre à l’Europe une nation, mais
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de prévenir chez les vainqueurs la contagion d’un mal partout latent.
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férence de Moscou, quelqu’un propose une méthode,
aussi
simple que neuve en ce domaine : qu’on définisse — et il le fait sur
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uère qu’on les appelle totalitaires, mais je vois
aussi
qu’ils n’ont jamais eu le sens de l’opposition organique. L’autorité
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t seul. » (La Rochefoucauld) Maxime qui n’est pas
aussi
claire qu’il y paraît à première vue. M. Siegfried n’a pas collection
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rois ou quatre langues d’importance inégale elles
aussi
. (Et tout cela n’est rien encore, car les frontières de ces États et
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vivons, semble-t-il dire, n’est-il pas fou d’être
aussi
sage ? On en revient à la maxime du moraliste. Je voudrais en déduire
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a Suisse est perdue sans nul doute. Mais l’Europe
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sera perdue. Or je crois qu’elle peut être sauvée d’une balkanisation
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e accepte de s’helvétiser. Dans ce cas, la Suisse
aussi
serait sauvée. Le dilemme suisse est donc : mission ou démission. M.
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nt de millions de bourgeois. Fin d’un mythe, mais
aussi
d’un monstrueux sophisme. Allez redire, ô philosophes qui vantiez la
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uraient plus l’occasion de s’en servir… On savait
aussi
qu’il était le parti du travail forcé, celui qui venait de « réaliser