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plus simplement : à des raisons de se regrouper,
c’est
l’affleurement d’un inconscient désir de « ce qui lie », d’une religi
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a « mystique » nationale-socialiste. L’effrayant,
c’est
qu’il n’y en a pas. Il n’y a rien que des masses qui se ressentent co
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é d’origine ? Ce n’est pas un conflit accidentel,
c’est
encore moins un conflit politique qu’il faut chercher à l’origine rée
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utions hitlériennes contre les Églises du Christ.
C’est
une opposition de nature et d’essence, radicale et insurmontable ; c’
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nature et d’essence, radicale et insurmontable ;
c’est
l’affrontement du destin sombre et de la foi libératrice, des choses
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a nuit au Hradschin. » Après Vienne, avec Prague,
c’est
une Europe qui vient de mourir. Europe du sentiment, patrie de nostal
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s Perdu, tout d’un coup, est encore plus proche :
c’est
l’an passé, c’est avant-hier — peut-être même est-ce… aujourd’hui ? M
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coup, est encore plus proche : c’est l’an passé,
c’est
avant-hier — peut-être même est-ce… aujourd’hui ? Mais oui, peut-être
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e, bander tous les ressorts, mobiliser les cœurs…
C’est
le crime des dictatures : elles ne tuent pas seulement la liberté dan
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cite, d’une confiance, presque d’une insouciance…
C’est
tout cela que vient de mettre en question l’usurpateur du Hradschin.
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délices d’un rêve inachevé. Mais il sait bien que
c’est
fini. Brève dispense, le temps d’un peu se souvenir… Il faut se lever
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es petites observations, ajoutera ou retranchera.
C’est
un jeu de société qui en vaut bien un autre. Je retranche pour ma par
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ont des directeurs d’inconscience. Et leur succès
c’est
de nous délivrer de nos contradictions morales, par anesthésie collec
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té de sa propagande. La révolution, de nos jours,
c’est
d’abord une question de mots, une question de slogans, un cas particu
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science de l’opinion qui s’appelle la Publicité.
C’est
pourquoi la conversation devient parfois si difficile entre un pays q
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de jauger les arguments de deux parties adverses.
C’est
dans ce sens que j’avais essayé d’être « juste » vis-à-vis de l’Allem
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elle-même, et non pas de comparaisons abstraites.
C’est
en quoi les notions française et allemande de justice s’opposeront pe
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ne « vitalité sûre d’elle-même ». L’espace vital,
c’est
celui que réclament non la misère et la famine, mais l’orgueil et la
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s roumains, réserves de guerre. Ce qui est vital,
c’est
donc tout simplement ce qui permettra de faire la guerre, c’est-à-dir
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? Mais l’espoir est toujours « malgré tout », et
c’est
alors qu’il est vraiment le gage d’une vie qui vaille d’être vécue. L
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la nuit ? — Le matin vient, et la nuit aussi ! »
C’est
toujours le même drame que nous vivons, qu’il s’agisse de flèches ou
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La phrase est devenue proverbiale en Amérique, et
c’est
fort bien : on ne tue les préjugés que par le ridicule ; quand on les
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rvé : les Allemands ne mentent pas comme nous. Et
c’est
un fait fondamental dont il convient de tenir compte quand on parle d
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é germanique, car le droit, leur a-t-on enseigné,
c’est
« ce qui sert le peuple allemand ». Plan d’éducation politique pour l
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relles tolèrent la subsistance des vies humaines,
c’est
au prix d’un effort épuisant d’adaptation, de protection, de réaction
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trêve à défendre sa vie d’animal ? J’en vois un,
c’est
peut-être le seul. Là, point de catastrophes naturelles, d’avalanches
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ne s’en étonne — qu’il possède un climat tempéré.
C’est
la France. Ses habitants croient que la nature dont ils jouissent est
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male, est une réussite hautement improbable. Mais
c’est
par cela même qu’elle se trouve chargée d’une mission universelle. Pe
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ives, parcourus d’écureuils et d’oiseaux-mouches.
C’est
ici l’Amérique de mon enfance. Non point la vraie — il n’y en a point
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l’automne encore tiède glorifie le luxe songeur.
C’est
dans ce cadre trop parfait, cette ambiance d’innocence, de sports et
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t qu’augmenter l’importance des troupes de terre.
C’est
bien l’avis qu’on attendait d’un général. Et il illustre sa pensée. «
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et quand ? Se défendre ? Contre qui ? On dit : «
C’est
toujours l’infanterie qui termine une campagne en occupant le terrain
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sent soudain menacé d’ennui. Mais en même temps,
c’est
comme s’il s’éveillait d’une longue torpeur stupéfiée. Le temps de ré
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jets dans mes chroniques précédentes.) Ce régime,
c’est
la démocratie, que plus personne qui compte n’ose attaquer, et dont t
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ourd’hui par les bouches officielles. Cette idée,
c’est
l’unité des peuples de la planète, c’est le rêve d’un gouvernement pl
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te idée, c’est l’unité des peuples de la planète,
c’est
le rêve d’un gouvernement planétaire, c’est la « pensée globale », co
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nète, c’est le rêve d’un gouvernement planétaire,
c’est
la « pensée globale », comme disent les Anglo-Saxons. Et cette arme,
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», comme disent les Anglo-Saxons. Et cette arme,
c’est
la bombe atomique. Or, remarquez que la démocratie triomphante (en th
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s États de l’Union m’a toujours paru peu réelle :
c’est
comme une ville d’exposition qu’on aurait décidé de ne pas détruire.
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s ruines, pour y chercher sa subsistance. — Comme
c’est
passionnant ! me dit une dame, really, I love him, he is fascinating
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ystérie, ne paraissait pas dominer l’assemblée. —
C’est
qu’on croyait alors, me dit le savant. Nous n’avons devant nous que d
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assacres en masses. Ce que j’aime, dans le monde,
c’est
qu’on part quand on veut. À peine sorti, je me suis mis à réfléchir,
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explosion unanime nous paraît plutôt rassurante.
C’est
le danger ou le malheur individuel que l’on redoute, et dont on souff
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rticulier. Je pourrais me contenter de répondre :
c’est
plutôt vous qui devriez sortir, sous peine de ne pas comprendre la ré
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aucoup plus vite que Jules Verne n’a pu le rêver.
C’est
cela, et c’est aussi le cauchemar des visas. Si cette folie furieuse
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e que Jules Verne n’a pu le rêver. C’est cela, et
c’est
aussi le cauchemar des visas. Si cette folie furieuse et inutile ne r
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ésoudrait en termes simples : on verrait vite que
c’est
un faux dilemme. Le fait est là : nous allons en dix heures de Lisbon
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Mais ce qui naît, ce qui peut naître parmi nous,
c’est
un amour plus large de l’humain, une conception de la fidélité qui ne
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question allemande. Et ce qui me frappe d’abord,
c’est
de la trouver posée de manière si contradictoire pour peu que je pass
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isais dans mon Journal d’Allemagne : attention,
c’est
très grave, ils ne songent qu’à la guerre, toute leur pensée et tous
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! Il y a celui de la santé morale de l’Europe. Et
c’est
cela que je crains qu’on oublie, à trop parler Ruhr, garanties, réarm
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er nouveau bien aussi grave qu’au temps d’Hitler.
C’est
un enfer à notre porte. Et rien n’est aussi contagieux. Il s’agirait
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riels de la petite patrie de Gottfried Keller. Et
c’est
pourquoi la résistance morale des Suisses, cernés par les totalitaire
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religion du sang. Le danger allemand aujourd’hui,
c’est
qu’il ne crée au centre de l’Europe un terrain vague, non pas peuplé,
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je distingue au moins trois raisons. La première,
c’est
que la mort en masse, ou la menace d’une mort instantanée s’abattant
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moins qu’une séance chez le dentiste. La seconde,
c’est
que la curiosité est plus forte que la crainte chez les enfants. Or l
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z-de-marée de protestations dans le monde entier,
c’est
qu’on affirme que l’opération sera faite « dans un but militaire ». C
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ocalypse, — « et le tiers des navires périt ». Si
c’est
un four, comme certains le prévoient, je vous conseille de n’en pas r
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tante n’est pas un vieux routier de la politique.
C’est
un général : il a gardé le réflexe de désigner nettement l’objectif.
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é le réflexe de désigner nettement l’objectif. Et
c’est
un Américain : il se souvient de l’œuf de Colomb. De plus, il voudrai
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orité, mais bien dans l’unanimité (le sobornots).
C’est
au nom d’une doctrine semblable que les Soviets ont exigé le veto dan
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jourd’hui, ce qui frappe l’observateur en Suisse,
c’est
la présence quasi universelle de l’industrie. Un cinquième de la popu
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ar la bande, la bande rouge qui orne le livre : «
C’est
une grande folie de croire qu’on peut être sage tout seul. » (La Roch
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jet d’exportation, n’a pas de valeur universelle.
C’est
ce que pensent encore trop de Suisses, et voilà bien le reproche qu’i
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elle de l’Europe, mutatis mutandis bien entendu :
c’est
précisément la méthode du fédéralisme authentique. La Suisse vient de
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récédèrent l’adoption de cette charte exemplaire.
C’est
le microcosme de nos vrais débats. Les mêmes menaces, les mêmes espoi
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si nous supprimons les péages. On les supprime :
c’est
la prospérité. Les minorités disent : nous serons écrasés si l’on adm
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qu’en disent les détracteurs des temps modernes,
c’est
une des gloires de ces temps que cette idée ait acquis plus de nettet
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uvent pourtant pas nier l’existence de la Suisse.
C’est
un fait qui réfute les meilleurs arguments contre le fédéralisme en s
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te et de la déportation massive des travailleurs.
C’est
ici le lieu et le temps de le répéter ou jamais : d’autres que les So
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recevoir le plus et croiraient trahir en donnant.
C’est
l’Europe qui crée son avenir et justifie sa raison d’être par des hom