1 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
1 e si rien de pire n’était imaginable. Comme si le désordre était sans précédent et sans lendemain prévisible. Et pourtant le dés
2 dent et sans lendemain prévisible. Et pourtant le désordre dure. Il se confond avec notre vie même, avec la Vie ! Certes, l’anar
3 éralement la paix : cette ignorance satisfaite du désordre et des injustices établies. La menace de guerre qui pèse sur nous pou
4 ion trouve, au contraire, dans la connaissance du désordre et des périls inhérents au progrès, la chance d’une grandeur qui, ell
2 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
5 es, dissimulées à l’ombrage des pins cascadant en désordre des hauteurs, jusqu’aux bouleaux enchevêtrés des rives, parcourus d’é
3 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
6 cheveux au vent — deux belles touffes blanches en désordre « génial » — et c’était l’un de mes voisins, Albert Einstein, le patr