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ngage totalitaire ; le droit des peuples les plus
forts
à disposer de leurs voisins les plus faibles ; consolider la paix sig
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orrespondant signifie en français : droit du plus
fort
, donc injustice. Ici encore, il suffit de changer le signe. Quant à l
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rs la fin : « Il y a l’espérance, qui est la plus
forte
! Il y a la joie, qui est la plus forte ! Il y a Dieu ! Il y a Dieu q
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t la plus forte ! Il y a la joie, qui est la plus
forte
! Il y a Dieu ! Il y a Dieu qui est le plus fort ! » C’était l’invinc
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forte ! Il y a Dieu ! Il y a Dieu qui est le plus
fort
! » C’était l’invincible évidence, la délivrance, le « malgré tout »
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ne dis pas que les conflits vont cesser ; que les
forts
vont renoncer à se montrer forts, ou les faibles à s’agglutiner pour
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cesser ; que les forts vont renoncer à se montrer
forts
, ou les faibles à s’agglutiner pour les abattre ; que les classes von
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our gouverner effectivement, et celui d’être trop
fort
pour que survivent les libertés nationales ou régionales. Mais si ce
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pensée et tous leurs actes y tendent, et ils sont
forts
! — beaucoup trouvaient cela désagréable. Certains allèrent jusqu’à m
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? Seuls, ils ne peuvent attaquer la France. Même
forts
, même réarmés, même n’ayant rien appris, et justifiant les pires méfi
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iste. La seconde, c’est que la curiosité est plus
forte
que la crainte chez les enfants. Or l’opinion publique est un enfant