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ouleversante déclamation chorale, vers la fin : «
Il y a
l’espérance, qui est la plus forte ! Il y a la joie, qui est la plus
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n : « Il y a l’espérance, qui est la plus forte !
Il y a
la joie, qui est la plus forte ! Il y a Dieu ! Il y a Dieu qui est le
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s forte ! Il y a la joie, qui est la plus forte !
Il y a
Dieu ! Il y a Dieu qui est le plus fort ! » C’était l’invincible évid
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a la joie, qui est la plus forte ! Il y a Dieu !
Il y a
Dieu qui est le plus fort ! » C’était l’invincible évidence, la déliv
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icains, les démocrates et les bolchéviques ! » Qu’
il y ait
ou non de « bons Allemands », cette histoire vraie pose le vrai probl
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re au sens classique et multimillénaire du mot. «
Il y aura
toujours des guerres ! », nous disaient-ils. Sans doute, mais ce ne s
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e pas comprendre la réalité mondiale. Après tout,
il y a
quarante millions de Français, deux-mille-millions d’habitants de la
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enez si le cœur vous en dit. Mais je sais bien qu’
il y a
les visas. N’acceptons pas que cet accident tardif de la démence nati
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es relations entre l’URSS et les États-Unis. Mais
il y a
bien d’autres plans ! Il y a celui de la santé morale de l’Europe. Et
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les États-Unis. Mais il y a bien d’autres plans !
Il y a
celui de la santé morale de l’Europe. Et c’est cela que je crains qu’
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sants, forment un spectacle vraiment plutonien ».
Il y a
près de trois quarts de siècle que Melville eut cette vision prophéti
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héorie de la démocratie et sa pratique, dit-elle,
il y a
souvent d’énormes différences. » Elle marque les différences qu’on vo
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. » La carte postale est de Victor Hugo et date d’
il y a
près de cent ans. Aujourd’hui, ce qui frappe l’observateur en Suisse,