1 r ! Si l’on n’a pas le même passé, l’on ne pourra jamais y entrer — si l’on n’est pas de sang aryen, par exemple. Car cette re

2 lles, mortes et enterrées depuis des millénaires, jamais « passées », et qui réclament encore du sang, des morts, des cortèges

3 égner. Des lois adroites et humaines ne suffiront jamais à l’assurer : il y faut ce climat sentimental, cette espèce de nature

4 ’aimer, cette bonté humaine, plus « inutile » que jamais , dominatrice et bafouée. b. Rougemont Denis de, « Le bon vieux tem

5 a guerre ou depuis 1933. Nous n’en sortirons donc jamais par ce biais-là. Abandonnons toute prétention à l’objectivité stellai

6 asse par le carré de la vitesse lumineuse. On n’a jamais tant dit en si peu de signes. Mais je ne suis pas un physicien, et n’

7 ’agit d’un problème dont la preuve, si elle était jamais administrée, ne pourrait plus intéresser qu’un auditoire brusquement

8 Le savant se montrait plein d’humour. On n’avait jamais été plus plaisant à propos de massacres en masses. Ce que j’aime, dan

9 . Le nomade n’aime pas sa terre, n’y revient donc jamais vraiment. Le paysan n’aime que sa terre, ne l’aime donc pas de la mei

10 la manière suivante : Voici un pays abattu comme jamais pays ne le fut ; voici un peuple qui se réveille du cauchemar d’un bo

11 paix. La paix nous comble. La paix ne nous ennuie jamais ... Si c’était vrai, il n’y aurait pas de guerres. (Je ne parle pas de

12 lle totalitaires, mais je vois aussi qu’ils n’ont jamais eu le sens de l’opposition organique. L’autorité suprême de leur Égli

13 religions et de ces langues ne coïncident presque jamais  : calculez les combinaisons !) Il nous décrit un pays que la Nature a

14 s. C’est ici le lieu et le temps de le répéter ou jamais  : d’autres que les Soviets ont tiré sur la foule des prolétaires reve

15 rs intérêts ou de valeurs couvrant ces intérêts ; jamais au nom de la justice et des libertés populaires. J’imagine deux chose