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’entrait pas dans les coutumes germaniques. Alors
parut
M. Hitler. Il a fallu cinq ou six ans pour déchiffrer la clé de son l
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» vis-à-vis de l’Allemagne dans un petit ouvrage
paru
l’automne dernier. Or, voici ce que m’écrit un hitlérien : « Juste, v
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ci tue cela, me semble-t-il. Si impertinent qu’il
paraisse
de critiquer l’avis d’un militaire que le président Truman déclarait
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e tâche politique du siècle, dans ces conditions,
paraît
claire. Il faut d’abord dresser devant les peuples une vision simple
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partie d’aucun des États de l’Union m’a toujours
paru
peu réelle : c’est comme une ville d’exposition qu’on aurait décidé d
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ser que la Bombe allait renouveler l’hystérie, ne
paraissait
pas dominer l’assemblée. — C’est qu’on croyait alors, me dit le savan
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n naufrage commun ou d’une explosion unanime nous
paraît
plutôt rassurante. C’est le danger ou le malheur individuel que l’on
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ciser. Mais l’attitude que je viens de décrire me
paraît
propre à maintenir le mal. Comment le guérir là-bas, et le prévenir i
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t de se guérir de sa névrose. Cette conception me
paraît
réaliste, et prudente autant que chrétienne. Car le vrai danger allem
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caractère le plus spécifique d’une démocratie me
paraît
être le droit d’opposition. Et je parle d’une opposition non seulemen
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ucauld) Maxime qui n’est pas aussi claire qu’il y
paraît
à première vue. M. Siegfried n’a pas collectionné des impressions. Il