1 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Une simple question de mots (24 avril 1939)
1 ’entrait pas dans les coutumes germaniques. Alors parut M. Hitler. Il a fallu cinq ou six ans pour déchiffrer la clé de son l
2  » vis-à-vis de l’Allemagne dans un petit ouvrage paru l’automne dernier. Or, voici ce que m’écrit un hitlérien : « Juste, v
2 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
3 ci tue cela, me semble-t-il. Si impertinent qu’il paraisse de critiquer l’avis d’un militaire que le président Truman déclarait
3 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Les résultats de la guerre (21 décembre 1945)
4 e tâche politique du siècle, dans ces conditions, paraît claire. Il faut d’abord dresser devant les peuples une vision simple
4 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un salon atomique (26 décembre 1945)
5 partie d’aucun des États de l’Union m’a toujours paru peu réelle : c’est comme une ville d’exposition qu’on aurait décidé d
6 ser que la Bombe allait renouveler l’hystérie, ne paraissait pas dominer l’assemblée. — C’est qu’on croyait alors, me dit le savan
7 n naufrage commun ou d’une explosion unanime nous paraît plutôt rassurante. C’est le danger ou le malheur individuel que l’on
5 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
8 ciser. Mais l’attitude que je viens de décrire me paraît propre à maintenir le mal. Comment le guérir là-bas, et le prévenir i
9 t de se guérir de sa névrose. Cette conception me paraît réaliste, et prudente autant que chrétienne. Car le vrai danger allem
6 1947, Le Figaro, articles (1939–1953). Le droit d’opposition (3 avril 1947)
10 caractère le plus spécifique d’une démocratie me paraît être le droit d’opposition. Et je parle d’une opposition non seulemen
7 1948, Le Figaro, articles (1939–1953). Sagesse et folie de la Suisse (13 octobre 1948)
11 ucauld) Maxime qui n’est pas aussi claire qu’il y paraît à première vue. M. Siegfried n’a pas collectionné des impressions. Il