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utal. Comme chaque jour à New York, je pense à la
planète
. Mais je ne puis penser aujourd’hui qu’aux climats inhumains de la pl
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penser aujourd’hui qu’aux climats inhumains de la
planète
. À ces îles des tropiques où le litre de rhum qu’on boit par jour et
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nt pas toutefois que ce climat « normal », sur la
planète
, est une exception surprenante. Tout ce que nos pères considéraient c
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lles. Cette idée, c’est l’unité des peuples de la
planète
, c’est le rêve d’un gouvernement planétaire, c’est la « pensée global
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sibilité pratique d’un gouvernement fédéral de la
planète
nous sont apparues simultanément. Elles se proposent à l’esprit avec
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dans les salons la possibilité de faire sauter la
planète
. Les événements qui dépassent l’imagination — et celui-ci ne saurait
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e Français, deux-mille-millions d’habitants de la
planète
, non moins réels, guère moins accablés de problèmes. Mais je ne cherc
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rement au point de départ, après un petit tour de
planète
. Nous changeons de continent comme on part en week-end. Le mot partir