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e « mystique » comme on le répète un peu partout,
plus
simplement : à des raisons de se regrouper, c’est l’affleurement d’un
2
es risques immenses qu’elle ouvre. Car on ne peut
plus
se le dissimuler : les masses modernes, privées de culture spirituell
3
inent guère, se trouvent devant le fait religieux
plus
ignorantes, plus démunies et plus « barbares » que les peuplades poly
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rouvent devant le fait religieux plus ignorantes,
plus
démunies et plus « barbares » que les peuplades polynésiennes avec le
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fait religieux plus ignorantes, plus démunies et
plus
« barbares » que les peuplades polynésiennes avec leurs rites et leur
6
nt aussi bien de se satisfaire par les moyens les
plus
grossiers, et par exemple par le seul sentiment d’une fraternité char
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eilles sont passées », dit saint Paul, « il n’y a
plus
ni Juif ni Grec, et tu es mon frère en la cité nouvelle si tu partage
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ur tout ce que l’on a derrière soi et qui ne peut
plus
être changé : le sang, la race, la tradition, les morts, tout ce qui
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e religion est, au suprême degré, intolérante, et
plus
qu’intolérante : on ne peut même pas s’y convertir ! Si l’on n’a pas
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e, cette conversion à partir de laquelle il n’y a
plus
ni Juifs ni Grecs aux yeux de l’esprit. Elle ne demande pas : que cro
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nouvelle pour les chrétiens qui pensaient n’avoir
plus
à redouter que l’incroyance et l’inertie. Peut-être vont-ils découvri
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ramène mieux à leur vraie force. Car il ne suffit
plus
d’entretenir un vague sentiment religieux, vestige d’un passé touchan
13
s erreurs. Il est facile d’avoir raison de loin ;
plus
difficile de découvrir une voie meilleure où l’on soit prêt à se risq
14
ci que ce Temps Perdu, tout d’un coup, est encore
plus
proche : c’est l’an passé, c’est avant-hier — peut-être même est-ce…
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es de vie, qui sont encore les nôtres, ne peuvent
plus
apprivoiser le destin. Soit que les tyrans nous accablent, soit qu’un
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nos cœurs, ce droit d’aimer, cette bonté humaine,
plus
« inutile » que jamais, dominatrice et bafouée. b. Rougemont Denis
17
. Nous croyons aux recettes de la Science avec la
plus
touchante superstition. Nous emboîtons le pas de la mode les yeux fer
18
une nostalgie d’amour-passion dont nous ne savons
plus
même distinguer qu’elle contredit radicalement notre morale. Au lieu
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avons perdu le sens de la grandeur, nous n’avons
plus
de buts communs ? Ils vont nous rendre tout cela en nous rendant une
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us rendant une direction de marche. Mais ce n’est
plus
à nos consciences qu’ils s’adressent, à nos petites consciences anarc
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logue France-Allemagne. Il fut longtemps l’un des
plus
malaisés, à cause du pathos jacobin dont les Allemands avaient souffe
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le langage totalitaire ; le droit des peuples les
plus
forts à disposer de leurs voisins les plus faibles ; consolider la pa
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es les plus forts à disposer de leurs voisins les
plus
faibles ; consolider la paix signifiera : envahir un pays à dix contr
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le pacifisme des dictateurs. Ce n’était donc pas
plus
malin que cela ? Il suffit de poser à la clé : noir égale blanc, et a
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mon correspondant signifie en français : droit du
plus
fort, donc injustice. Ici encore, il suffit de changer le signe. Quan
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n n’aura pas été sans remarquer que sa qualité la
plus
frappante est l’élasticité illimitée. Plus la vitalité d’un peuple es
27
ité la plus frappante est l’élasticité illimitée.
Plus
la vitalité d’un peuple est « sûre d’elle-même », plus ses nécessités
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la vitalité d’un peuple est « sûre d’elle-même »,
plus
ses nécessités dites vitales s’accroissent. Que signifie alors le mot
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des idées s’accroît d’une anxiété de jour en jour
plus
justifiée, à cause des crises sociales et politiques. Et pourtant nou
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, s’exalte aux approches du péril et s’en nourrit
plus
qu’on n’oserait l’avouer. Après tout, nous ne sommes pas les premiers
31
idité. L’Europe a connu des paniques et des nuits
plus
terribles que les nôtres, au lendemain des grandes invasions, du ve
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ntroduisent dans le monde actuel des possibilités
plus
radicales d’anéantir la guerre humaine. On me dira qu’autrefois les c
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ions d’avant-guerre eurent sans doute l’existence
plus
facile, mais de quel prix spirituel ont-elles payé l’illusion du Prog
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mpte, ce n’est pas le sort matériel et le bonheur
plus
ou moins grand de la cité, mais les raisons de vivre des hommes qui l
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ceptées. Acceptons notre chance de vivre une vie
plus
consciente et réelle. Quoi qu’il advienne, sachons voir en toutes cho
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e, vers la fin : « Il y a l’espérance, qui est la
plus
forte ! Il y a la joie, qui est la plus forte ! Il y a Dieu ! Il y a
37
ui est la plus forte ! Il y a la joie, qui est la
plus
forte ! Il y a Dieu ! Il y a Dieu qui est le plus fort ! » C’était l’
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plus forte ! Il y a Dieu ! Il y a Dieu qui est le
plus
fort ! » C’était l’invincible évidence, la délivrance, le « malgré to
39
eurs. Quelques-uns des Américains que j’estime le
plus
pensent qu’il existe encore de « bons Allemands ». Dorothy Thompson p
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es générations allemandes : leur inculquer dès la
plus
tendre enfance le respect sacré de la définition légale et objective
41
s, de la politique, des robes et une littérature,
plus
quelques âmes de climat dur, de Pascal à Rimbaud, de Calvin à Saint-J
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s’efforcer de reproduire et de rejoindre par les
plus
coûteux artifices, ce climat qu’un Français moyen reçoit à son bercea
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végétariens. Mais je dis que les militaires n’ont
plus
qu’à se consacrer aux sports. Que la guerre n’est plus leur métier. E
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qu’à se consacrer aux sports. Que la guerre n’est
plus
leur métier. Et que par conséquent il n’y aura plus de guerre au sens
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us leur métier. Et que par conséquent il n’y aura
plus
de guerre au sens classique et multimillénaire du mot. « Il y aura to
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nous disaient-ils. Sans doute, mais ce ne seront
plus
les leurs, les « vraies », les héroïques, costumées et casquées, avec
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hur et leurs troupes même motorisées, ne pourront
plus
servir, à l’occasion, que pour le combat de rues, les petites guerres
48
ent de vague et vaste frustration. (L’Europe sera
plus
touchée que l’Amérique.) On ne se guérit pas facilement de l’ablation
49
des maisons riveraines, dont celle où je suis, la
plus
vieille : elle aura cent ans l’an prochain. Mr T… fut jadis candidat
50
adien prêche en français : nous sommes ici un peu
plus
près de Montréal que de New York. L’hôtel se nomme le Sagamore. Un av
51
endance. La liberté et la démocratie montrent ici
plus
d’un visage. Comme ailleurs. Mais ici plus qu’ailleurs, on sent que l
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nt ici plus d’un visage. Comme ailleurs. Mais ici
plus
qu’ailleurs, on sent que liberté signifie quelque chose d’élémentaire
53
et pensent quelques-uns des esprits qui auront le
plus
contribué à transformer la condition du siècle. Hier soir, au cinéma,
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ue — mais dans notre réserve d’intellectuels avec
plus
de compétence qu’ailleurs — la discussion sur l’avenir de la Bombe ba
55
e fait qu’une pareille guerre exige des effectifs
plus
importants que par le passé. Il faut des troupes pour mettre les inst
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de l’invention de la poudre. Mais trois colonnes
plus
loin, sur la même page du New York Times, je lis ceci : « Le docteur
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ire que le président Truman déclarait récemment «
plus
grand que tous les capitaines connus, y compris Alexandre », je pense
58
evoir des renforts et des munitions de leur pays,
plus
qu’à moitié détruit. Ils verront que la guerre n’a plus de sens humai
59
u’à moitié détruit. Ils verront que la guerre n’a
plus
de sens humain. D’ailleurs l’île qu’ils iront conquérir sera déjà réd
60
onner d’autres, si elles existent ? La guerre n’a
plus
d’autres secrets que ceux de l’industrie, qui sont ceux de la science
61
s les Anglais, tirez les premiers ! il n’y aurait
plus
personne pour tirer en second, et retourner le feu, comme on disait n
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ve, si elle était jamais administrée, ne pourrait
plus
intéresser qu’un auditoire brusquement raréfié. k. Rougemont Denis
63
précédentes.) Ce régime, c’est la démocratie, que
plus
personne qui compte n’ose attaquer, et dont toutes les puissances dig
64
e), l’idée planétaire, et l’arme vingt mille fois
plus
puissante que toutes les autres jouent dans le même sens, se prêtent
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sors, qui est l’un des mieux courus, est aussi le
plus
atomique. Parmi les sous-secrétaires d’État, les diplomates et les vi
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se montrait plein d’humour. On n’avait jamais été
plus
plaisant à propos de massacres en masses. Ce que j’aime, dans le mond
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t que superficiellement. À vrai dire, ils amusent
plus
qu’ils n’angoissent. D’ailleurs, l’idée d’un naufrage commun ou d’une
68
ns, et j’ai quelques raisons de prendre la France
plus
au sérieux, plus au tragique, que les chiffres stupides n’y inviterai
69
ues raisons de prendre la France plus au sérieux,
plus
au tragique, que les chiffres stupides n’y inviteraient. Je reprends
70
ment ? Mais partir, ou rester, ne le sont pas non
plus
, apparemment, puisqu’on pose le problème. Supposez que nous soyons li
71
endre contemporain d’un monde qui change beaucoup
plus
vite que Jules Verne n’a pu le rêver. C’est cela, et c’est aussi le c
72
c changé de sens. Il a perdu son aura dramatique.
Plus
question de couper les ponts, de brûler ses pénates, et autres rites
73
ît, ce qui peut naître parmi nous, c’est un amour
plus
large de l’humain, une conception de la fidélité qui ne soit plus exc
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humain, une conception de la fidélité qui ne soit
plus
exclusive de la curiosité, un accueil plus ferme et plus souple de la
75
e soit plus exclusive de la curiosité, un accueil
plus
ferme et plus souple de la diversité des êtres et des coutumes. Aimez
76
clusive de la curiosité, un accueil plus ferme et
plus
souple de la diversité des êtres et des coutumes. Aimez votre terre e
77
en Europe après cinq ans d’absence, je n’y trouve
plus
d’Allemagne mais une question allemande. Et ce qui me frappe d’abord,
78
ules capables de définir une politique, appellent
plus
que les autres un commentaire. Une guerre de retard Sous la rubr
79
e une guerre de retard, une question qui n’existe
plus
? Ou qui s’est totalement transformée ? Quand je disais dans mon Jou
80
is désolé L’Allemagne était avant la guerre la
plus
grande puissance militaire du monde, avec son armée motorisée, son in
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l’Allemagne et la France. À vrai dire, on ne voit
plus
de conflit. La France n’est plus en face d’une Puissance, mais d’un v
82
dire, on ne voit plus de conflit. La France n’est
plus
en face d’une Puissance, mais d’un vaste glacis désolé sur lequel s’a
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l’Union soviétique : 50 millions d’Allemands, au
plus
, que touchent 200 millions de Russes. Que se passera-t-il ? Seuls, il
84
e des vingt dernières années, ils ne peuvent être
plus
rien d’autre que la pointe d’une offensive russe, ou d’une offensive
85
ns doute les villes d’Europe qui se sentaient les
plus
directement menacées, non seulement en vertu de la géographie, mais p
86
es ruines de ses villes, pour découvrir qu’il n’a
plus
de gouvernement, qu’il est entièrement occupé par quatre armées étran
87
rdu un tiers de son territoire à l’Est, qu’il n’a
plus
de quoi manger et qu’au surplus, loin qu’on le plaigne, on l’accuse f
88
formellement de s’être rendu coupable du crime le
plus
énorme de l’Histoire. Une conception réaliste et prudente Que f
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le vrai danger allemand, en l’an 1946, ne réside
plus
dans un état-major, dans un parti, dans une doctrine de conquête, ou
90
expériences — celle de demain et celle, beaucoup
plus
grave, projetée pour la fin du mois —, mais encore nous sommes dans u
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la mort et la consomption lente dans les pays les
plus
lointains, aveuglant les avions, affolant les boussoles, rendant chau
92
des expériences est pour demain. À cette apathie
plus
qu’étrange de l’opinion et de ses organes, je distingue au moins troi
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dentiste. La seconde, c’est que la curiosité est
plus
forte que la crainte chez les enfants. Or l’opinion publique est un e
94
se quelque chose. Mais la troisième raison est la
plus
remarquable. Si la menace d’un raz-de-marée continental — pour si fai
95
et ! Mais non, ni tôle ni murmures. Le sérieux le
plus
méthodique a présidé à la préparation d’une expérience dont l’utilité
96
comme celui des Noirs ou des Koulaks, se liquide
plus
facilement dans une dictature que dans une démocratie… Le secrétaire
97
rmettrai d’offrir une suggestion. Le caractère le
plus
spécifique d’une démocratie me paraît être le droit d’opposition. Et
98
spère, mécanisée, démocrate à l’extrême (beaucoup
plus
en fait qu’en doctrine), jalouse de ses diversités, unie par le refus
99
tendue, dont le seul but est d’assurer aux hommes
plus
de bien-être et d’avantages sociaux. En somme, à cette « démocratie-t
100
constitution présente. Je ne sais pas d’histoire
plus
instructive, pour l’Européen d’aujourd’hui, que celle des discussions
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die de la Suisse à la veille de sa fédération. En
plus
tragique, bien sûr. L’urgence est donc plus grande. Mais les problème
102
n. En plus tragique, bien sûr. L’urgence est donc
plus
grande. Mais les problèmes sont analogues, et l’attente des peuples e
103
e. « Oui, l’idée d’une commune patrie ne nous est
plus
étrangère ! s’écriait l’un des précurseurs de la Constitution de 1848
104
es gloires de ces temps que cette idée ait acquis
plus
de netteté, ce sentiment plus d’énergie. » Les adversaires de la fédé
105
tte idée ait acquis plus de netteté, ce sentiment
plus
d’énergie. » Les adversaires de la fédération du continent (peu s’avo
106
r la terre entière une vérité que l’on n’éteindra
plus
: la tyrannie totalitaire est un crime contre l’homme et ses jours, d
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e qu’en régime socialiste les ouvriers n’auraient
plus
l’occasion de s’en servir… On savait aussi qu’il était le parti du tr
108
iècle, exigeaient de telles normes, ou trois fois
plus
, ils le faisaient au nom de leurs intérêts ou de valeurs couvrant ces
109
ers la liberté ! » Mais rien de tout cela ne sera
plus
effacé. Rien ne peut plus faire que les héros de Berlin soient morts
110
en de tout cela ne sera plus effacé. Rien ne peut
plus
faire que les héros de Berlin soient morts en vain. Aux jours les plu
111
ros de Berlin soient morts en vain. Aux jours les
plus
découragés de l’Occident, ils ont fait renaître l’espoir. Le sursaut
112
s entre nations qui entendent chacune recevoir le
plus
et croiraient trahir en donnant. C’est l’Europe qui crée son avenir e