1 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Une simple question de mots (24 avril 1939)
1 ys à dix contre un sans avoir à tirer un obus. La presse italienne, dans son ardeur de néophyte, vend la mèche lorsqu’elle opp
2 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
2 e et de pression morale tels que radio, police et presse , introduisent dans le monde actuel des possibilités plus radicales d’
3 ne certaine inconscience, d’une ignorance dont la presse , de nos jours, nous prive avec acharnement. Du moins voudrait-on rapp
3 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le mensonge allemand (16 août 1945)
4 le, dont l’influence demeure considérable dans la presse de « gauche modérée ». Et d’autres pensent que non, ainsi Glenway Wes
4 1947, Le Figaro, articles (1939–1953). Le droit d’opposition (3 avril 1947)
5 le temps de réfléchir. Pour occuper l’attente, la presse soviétique se livre à d’habiles variations sur un thème prévu : « Ent
6 osé une sorte de credo démocratique, exigeant une presse libre, des élections libres et des syndicats libres. Et il a conclu e
5 1953, Le Figaro, articles (1939–1953). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (25 juin 1953)
7 ouvrière. Cette phrase qu’on n’a pas lue dans la presse communiste, nos enfants la liront dans leurs livres d’histoire. Cette
8 ains pour les besoins d’une polémique, non par la presse d’un seul pays, d’un seul parti, non par erreur ou exagération, ni pa