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instants les délices d’un rêve inachevé. Mais il
sait bien
que c’est fini. Brève dispense, le temps d’un peu se souvenir… Il fau
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vec mauvaise conscience. Quand nous mentons, nous
savons bien
que la vérité ne change pas pour si peu. Elle subsiste intacte et nou
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oisissez. Revenez si le cœur vous en dit. Mais je
sais bien
qu’il y a les visas. N’acceptons pas que cet accident tardif de la dé
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s le fait, elle est forcée d’agir comme telle. Je
sais bien
que les Russes n’aiment guère qu’on les appelle totalitaires, mais je