1 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
1 rontières du catholicisme une émotion dont chacun sent l’arrière-pensée, l’arrière-angoisse. Cette mort en plein combat dans
2 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
2 ien de semaines pourrons-nous goûter ce répit, et sentir que nous prolongeons une existence que nos fils appelleront douceur d
3 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
3 ge. Comme ailleurs. Mais ici plus qu’ailleurs, on sent que liberté signifie quelque chose d’élémentaire : la possibilité de
4 rs et gouverne par elle une Amérique secrète, qui sent mieux son histoire réelle que ses trop larges ouvertures sur un aveni
4 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
5 conscience les a rendus prudents et sages. Ils se sentent accusés sourdement d’avoir causé trois-cent-mille morts et créé une m
5 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Les résultats de la guerre (21 décembre 1945)
6 epuis six ans ses énormes péripéties, l’esprit se sent soudain menacé d’ennui. Mais en même temps, c’est comme s’il s’éveill
6 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
7 âle étaient sans doute les villes d’Europe qui se sentaient les plus directement menacées, non seulement en vertu de la géographi
7 1953, Le Figaro, articles (1939–1953). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (25 juin 1953)
8 . Le sursaut de l’Europe nouvelle, on vient de le sentir à Berlin, surgissant d’un peuple écrasé. Et ce n’est pas l’Europe des