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nte unanime d’un au-delà libérateur. « Les choses
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sont passées », dit saint Paul, « il n’y a plus ni Juif ni Grec, et t
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. Car cette religion n’admet pas que « les choses
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sont passées ». Elle n’admet pas cette nouvelle naissance, cette conv
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ligion sanglante et mortelle, religion des choses
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, mortes et enterrées depuis des millénaires, jamais « passées », et q
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e trop souvent que la liberté signifiait pour les
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Germains le droit de porter une arme et de la garder chez soi. Il est
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journaux du soir que le malheur des temps est une
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expression… Oui, de tout temps, le sort du monde a été quasiment dése
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aisons riveraines, dont celle où je suis, la plus
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: elle aura cent ans l’an prochain. Mr T… fut jadis candidat républic
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ur de voir grand, et qu’il préfère en général ses
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litiges locaux, qu’il appelle intérêts, à ses vrais intérêts, qu’il a
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r de cette proposition déconcertante n’est pas un
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routier de la politique. C’est un général : il a gardé le réflexe de
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Ils ont tiré ! Ils tirent sur les ouvriers ! » Le
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cri de douleur des villes européennes, le cri de douleur des faubourg
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ite, une fois qu’on a le Pouvoir, en répétant ses
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mots d’ordre d’unité, d’amélioration de la vie, de haine contre le fa
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à nier ceci : devant la porte de Brandebourg, le
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chant populaire socialiste s’est fait entendre pour la première fois