1 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
1 us pourrons définir un tel humanisme : l’organe d’ équilibre de la civilisation. Nous tenions de l’Antiquité, et singulièrement de
2 oir transmettre aux générations cette notion d’un équilibre proprement humain. Ainsi passèrent quelques siècles ; ainsi passa le
3 ame son autonomie vis-à-vis de la métaphysique. L’ équilibre de notre esprit ne comporte pas l’égalité de droit de ces deux discip
4 s constant en faveur de l’esprit peut maintenir l’ équilibre de l’esprit et de la matière. L’humanisme moderne sera ce parti pris,
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
5 urtant, seule l’intéresse, n’est plus qu’un jeu d’ équilibres relatifs, variables et réversibles. Plus de sanctions transcendantes
3 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
6 ies. Dans le plan humain immanent, il n’y a pas d’ équilibre possible entre l’anarchie et l’unité forcée, l’individu et l’État. Ma
7 u’intervient la transcendance, il y a mieux qu’un équilibre , il y a un principe vivant d’union. Là où est l’Esprit, là est la lib
8 rche à vivifier leurs foyers. Et de la sorte, à l’ équilibre méfiant et statique des puissances affrontées, il substitue l’émulati
4 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
9 ement de la croissance à tout prix des formules d’ équilibre humain qui prennent en compte le bonheur, ou simplement l’aisance à v