1
us pourrons définir un tel humanisme : l’organe d’
équilibre
de la civilisation. Nous tenions de l’Antiquité, et singulièrement de
2
oir transmettre aux générations cette notion d’un
équilibre
proprement humain. Ainsi passèrent quelques siècles ; ainsi passa le
3
ame son autonomie vis-à-vis de la métaphysique. L’
équilibre
de notre esprit ne comporte pas l’égalité de droit de ces deux discip
4
s constant en faveur de l’esprit peut maintenir l’
équilibre
de l’esprit et de la matière. L’humanisme moderne sera ce parti pris,