1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
1 1930 ; et en même temps il se réclame d’un Esprit éternel qui cependant est né et dont on ne saurait prévoir les avatars. Tout
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
2 lisme : c’est un idéal positif, immédiat parce qu’ éternel . Là où Keyserling dit seulement adaptation, nous ajoutons régénératio
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
3 -dire souffrir, vieillir. L’amour étant d’essence éternelle , ses manifestations dans notre vie — dans la durée — sont nécessairem
4 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
4 6, qu’elle enflamme des chants prophétiques. Et l’ Éternel enfin sera loué « selon l’immensité de sa grandeur » comme il est dit
5 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
5 alme, et que je sens tout le bien que les sources éternelles ont déversé dans mon cœur. » Et deux ans plus tard : « Je suis ce que
6 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
6 erpétuel dont l’enjeu est à chaque instant total, éternel et urgent. Je demande à M. Nizan si son appel à une philosophie vraim
7 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
7 ue insupportable à la présence dans ce temps de l’ éternel . Car il ne suffit pas d’applaudir à ses thèses pour apaiser ce regard
8 réalité. Celui-là seul connaît sa fin et l’ordre éternel de sa vie. Celui-là seul peut juger de ce monde, et s’y tenir comme n
9 r, et tout cela n’est rien que fuite devant notre éternel présent, et tout cela n’est que mythologie. Les dieux du siècle ont l
10 Parole seulement, entre les temps, dans l’instant éternel . Le solitaire peut-il agir ? Le maléfice hégélien, c’est l’obje
8 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
11 es qui nous séparent apparemment de cet événement éternel . N’est-il pas fort étrange et humiliant, qu’il faille un incroyant po
9 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
12 r que Luther fut un démagogue, un exploiteur de l’ éternel ressentiment de la race allemande contre la civilisation romaine. On
13 ’omnipotence, mais l’omniscience et la prescience éternelle de Dieu, qui ne peut faillir dans sa promesse, et auquel nul obstacle
14 re qu’elles sont prévues ! Et prévues par un Dieu éternel , qui alors se joue de moi indignement ! Il faudra donc choisir : Dieu
15 espace et au temps. Comment le temps tuerait-il l’ Éternel  ? Comment la chair tuerait-elle l’Esprit ? Elle ne peut tuer que l’id
16 t’assurerait que cet acte de révolte échappe à l’ éternelle Prévision ? Qui t’assurerait qu’en prononçant ces mots, tu ne prononc
17 mots, tu ne prononcerais pas sur toi-même l’arrêt éternel de Dieu te rejetant vers le néant, en sorte que Dieu, vraiment, n’exi
18 il pas ce paradoxe et ce mystère : croire que « l’ Éternel est vivant », croire que sa volonté — qui a tout prévu — peut aussi t
19 e ce qu’il décide ou de ce qu’il décidera ? Car l’ Éternel ne connaît pas de « temps », il n’est pas lié comme nous à une succes
20 e, nos divers temps et successions procèdent de l’ Éternel et lui sont liés : nous venons de lui, nous retournons à lui, il est
21 illusion nous ferait croire qu’une décision de l’ Éternel est une décision dans le passé ! Quand c’est elle seule qui définit n
22 extrêmes où elle revêt sa vraie réalité : c’est l’ Éternel qui commande, — ou c’est moi. Il n’y a pas là de difficultés intellec
23 mort » ou qu’il l’a « tué », il imagine le Retour éternel . Et comme ce Retour éternel paraît exclure toute liberté humaine, il
24 il imagine le Retour éternel. Et comme ce Retour éternel paraît exclure toute liberté humaine, il se met à prêcher l’amor fati
25 in. (Pour le chrétien, c’est accepter, en acte, l’ éternelle prévision du Dieu qui sauve.) La similitude étonnante du paradoxe lut
10 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
26 nce. C’est Rome alors qui nous donnera le symbole éternel de la réaction collective. La victoire de Rome sur la Grèce est la pr
27 Et il apporte à la question des temps la réponse éternelle de l’Église. Qu’est-ce que l’Église primitive, dans la perspective so
28 eul et même fait : la vocation qu’il a reçue de l’ Éternel . Cet homme d’un type nouveau n’est pas l’individu grec, puisqu’il se
29 ienne. Dans la personne ainsi définie se résout l’ éternel conflit entre la liberté individuelle et les devoirs vis-à-vis de la
30 possibilité constante de recourir directement à l’ Éternel , au-dessus de la communauté. Et la communauté est liée par sa fidélit
31 té. Et la communauté est liée par sa fidélité à l’ Éternel . Ainsi les droits et les devoirs du particulier ont le même fondement
11 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
32 e de la Vie, bleue, verte et blanche dans le noir éternel … Mais sauver le paysage et les décors n’aura plus de sens si nous ne
33 des hommes, la vie sans poids. Pas encore le Jour éternel . Mais quelque chose comme le miracle du réveil après le cauchemar où