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rkegaard, « l’Isolé », n’a plus rien en lui ni de
Faust
, ni du Caïn de Byron, il a dépassé le romantisme. Ou plutôt, le roman
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nt bouleverser nos sagesses. Goethe, prônant dans
Faust
le salut par l’effort humain au sein d’une nature harmonieuse — et qu
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en plutôt c’est lui qui nous juge. Il y a dans le
Faust
, et dans la vie de cet homme, dont le Faust n’est qu’une figuration s
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ns le Faust, et dans la vie de cet homme, dont le
Faust
n’est qu’une figuration symbolique, une leçon d’activité, de réalisat